Chapitre IV : Les 3 derniers jours

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   Il nous restait 3 jours et on avait déjà fait tout se qu'on voulait. On a profité de ces trois jours pour se reposer et ne rien faire. Certaines choses avaient changé comme mes rêves sont devenus des cauchemars chaque nuits je me voyais chaque soirs couché dans mon lit. Comme si quelqu'un m'observait. Je me réveilla avec une petite migraine se matin rien de grave un petit cachet et tout allait mieux.

 Zoe non plus n'était pas très bien ce matin. Elle dit avoir aussi fait le même cauchemar que moi , on a trouvé sa étrange d'avoir fait le même cauchemar. Elle dit avoir senti une pression sur elle et de plus sentir son corps. Je l'a rassura en disant qu'on a beaucoup fait d'activité sans vraiment se reposer. Elle me sourit et me dit :

<< Je t'aime , tu sais >>.

Quelques secondes plus tard on tapa à la porte 3 fois. Je fut ouvrir la porte et personne encore juste une lettre au pas de la porte. Cette fois j'ai trouvé ça bizarre , aucun chance que se soit nos voisins on a pas eu le temps de faire leur connaissance. Je lu la lettre :

<< Vacance terminé ou presque ...>>.

Je me suis senti très mal après avoir lu ça . Qui aurait-pu m'envoyer ces quelques mots et pourquoi ?Zoe me demanda de partir cette nuit. Elle ne voulait plus rester ici. Je pense qu'elle avait peur que se soit un observateur qui voudrait nous faire du mal. On commença à faire nos bagages au plus vite. Je pris deux nouveaux billets pour demain matin très tôt. On passa notre journée dans le jardin pour essayer d'oublier ce qui c'était passé ce matin. Je senti une petite brise me toucher le visage. J'ai senti quelques frisons me parcourir le dos et j'ai senti quelqu'un me jeter un regard oppressant. Je me suis retourné et j'ai regardé partout autour de moi quand soudain j'ai eu le sang glacé. Une frayeur s'empara de moi , j'ai voulu appelé Zoe mais aucun son ne sorti de ma bouche. Quelqu'un était dans notre maison , une personne me fixait avec un regard foudroyant. C'était une femme grande , cheveux longs, une robe noir avec des motifs taillés dans le tissu, elle portait un voile noir, j'arrivais à apercevoir son maquillage qui avait coulé, son regard noir et ces joues blanche me faisait pensé à tout les films d'horreur que j'ai pu voir. 

Zoe se retourna , elle me demanda pourquoi je ne répondait pas à sa question. En une fraction de seconde, elle eu un sanglot car elle vu la même personne que moi qui se tenait dans notre maison. J'ai su que je n'étais pas fou et que mes yeux ne me jouaient pas un tour. Elle s'agrippa à moi en me demandant si je voyais se qu'elle voyait. Je repris mon souffle et réussi à lui répondre avec une petite voix :

<< oui... >>. 

Je me suis levé et couru dans la maison et demanda à la personne qui était là de partir sinon j'appellerai la police sans hésiter. Je fis le tour de toute la maison sans y trouver personne mais je continuais de me sentir observer dans chaque pièces de la maison. Plus loin dans mes recherches à l'intrus je découvris une porte qui donnait au sous-sol. J'ai ouvert cette porte en étant sur que cette personne s'y était cachée. Je descendis les escaliers et alluma la lumière. Personne, il n'y avait personne. C'était impossible. J'ai fouillé toute la maison de fonds en combles , même dans les salles improbables. 

La cave était vide à part un petit coffre avec des vieux habilles dessus. On aurait dit une vieille buanderie où tout avait disparu. J'ai fait de nouveau un tour de toute la maison et toujours rien. Mais je sentais cette oppression m'envahir. 

Zoe et moi décidions d'aller déjeuner pour oublier tout ça. Sur la route tout redevint calme, c'est ce que je croyais. J'ouvris les yeux, tourna la tête et je vis Zoe sur le sol du sang sur.. sur son casque. J'entendais l'ambulance au loin qui raisonnait. Je perdis connaissance quelques secondes ou même quelques minutes. Zoe était sur le brancard elle n'avait déjà plus de casque. On commençait à s'occuper de moi , je ne comprenais pas ce qui c'était passé.

 Quand je regarda Zoe s'éloigné , elle tourna la tête vers moi mais ce n'était pas son visage mais celle de la femme que je vis dans la maison. J'en avais la certitude, j'essayais de hurler de toute mes forces mais tellement difficile que je perdis connaissance. 

Prisonnier d'une possessionWhere stories live. Discover now