Chapitre 9 (scène de sexe)

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Nb: Je n'ai pas encore vécu ce genre d'expérience alors je ne sais pas si je serais au top pour question d'imagination.




Dans un premier temps j'ai voulu le repousser car non seulement ce qu'on faisait était mal puisqu'il était marié mais aussi parce-qu'il agissait sous l'effet de l'alcool. Mais le baiser était trop prolongé, trop brûlant et surtout trop bon pour que je l'arrête. Il se leva m'incite à faire de même, le beau brun aspire ma lèvre inférieure tout en me rapprochant encore plus de lui. Mon corps était chaud, je tremblais...

Sa main droite ou gauche je ne sais plus pétrissait mes fesses pendant que l'autre se perdait dans mes cheveux. C'était trop bon mais c'était mal. À contre cœur, je me détachais de lui. Mais sa bouche cherchait déjà la mienne, je tournais la tête alors elle attérit sur ma joue.

- Non non...on-on ne peut pas continuer...tu".

- S'il te plait...j'en ai envie" il soufle contre mes lèvres.

Une de ses main prit mon sein en coupe et je gémis faiblement. Je glissais mes doigts dans ses doux cheveux pendant qu'on s'embrassait à perdre haleine, mes lèvres me font mal tellement qu'elles sont maltraitées. La main qui me pétrissait les fesses monta vers le zip éclair qui se trouvait dans le bas de mes fesses et en un claquement de doigts la robe s'ouvrit. Il pousse ses hanches vers moi, geste qui me fait tomber sur le canapé. Je le désire encore plus lorsqu'il enlève dans toute sa splendeur sa chemise avant de venir vers moi. Son corps est parfait, son torse est musclé et dépourvu de tout tatouage. Il est tout simplement parfait.

Il attrape mes chevilles et me tire sous lui, Lorenzo dépose de doux baisers dans mon cou à me faire perdre la tête...le point sensible de toutes les femmes... Ses baisers continuent jusqu'à ma poitrine et quand il prend mon sein gauche dans sa bouche mes yeux tournent derrière ma tête.

Oh mon Dieu.

Il titille le téton et le suce sans arrêt. Des gémissements sortent comme un volcan en éruption dans ma bouche. C'est trop bon.

Après un moment il descend vers mon ventre qu'il envahit de baisers. Quand il arrive plus bas, je soulève ma hanche pour l'aider, ses mains attrapent ma culotte qu'il fit glisser sur mes cuisses allant à mes pieds.

Il écarte mes jambes...

Non!!!...Il ne va pas...culli

Je vais faire un arrêt cardiaque...seigneur...je tente de fermer mes jambes mais il les retient pour mieux me déguster. Sa langue tâtonne mon clitoris, elle nicha tout l'intérieur de mon vagin avant d'entrer dans mon trou. Il me fouillait avec sa langue.

Oh. My. Goooddddd....je vais faire un arrêt cardiaque c'est sûr maintenant.

Je criais, j'hurlais, j'étais toute en sueur, je n'avais pas de position. Mes ongles griffaient le cuir du canapé, j'étais en ébullition. Je me cambrais lorsqu'il était là, il arrive comme un tsunami et fut tellement fort que je manque de m'évanouir.

Je viens de jouir grâce à lui.

Je viens de jouir grâce à mon patron.

Lorenzo Salvatierra.

J'étais tellement essoufflée, complètement à l'ouest...j'étais perdue dans mes pensées que je ne l'entendis même pas enlever son pantalon . Je fais la rencontre de son membre bien dressé avec une veine qui y longait le long de celui-ci. Il fait quelque va et vient avec sa main dessus puis il écartait encore plus mes jambes avec son genou pour venir me pénétrer en un seul coup.

Contramour Impossible Où les histoires vivent. Découvrez maintenant