Chapitre 61.

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Honnêtement, wattpad ça commence à me cassez les couilles. Ça m'affiche 0 abonnements & 0 abonnés et ça me marque aussi que j'ai aussi 0 histoires publiées alors que dans mes œuvres elles sont toutes les huit publiées, bref. Ça me soule et ça beug énormément, donc je vous préviens, si jamais ça continue dans cette voie, je supprime mon compte définitivement et j'en refais pas d'autre, pas tout de suite tout du moins.

Merci d'avoir lu.

***

Pdv Aurélia.

Je crois que je n'ai jamais été aussi franche envers mon père, mais bon. A quoi bon lui cacher puisque tôt ou tard j'aurai dû lui dire? Ca ne sert à rien. Liam me tenait la main, il l'a lâchait seulement pour changer les vitesses, puis la reprenait.

Quand on arrive à la maison, je dépose les affaires sur la table du salon et je monte là haut. Liam me suivait toujours, j'allais en direction de la salle de bain pour me déshabiller et me démaquiller. Il était dans la chambre, se déshabillant également.

Quand je suis en pyjama : un teeshirt à Liam avec ma culotte, je le rejoins dans le lit. Dès que je le découvre des couvertures, il se met à califourchon sur moi et commença à m'embrasser dans le cou. Il passa ses mains sous mon tee-shirt, et il les posa sur mes seins, les malaxants comme des boules de pâte à modeler...

Il m'embrassa langoureusement avant de passer mon teeshirt par dessus ma tête, laissant ainsi ma poitrine à sa merci. Ses yeux pétillaient de plaisir. Je savais ce qu'il avait l'intention de faire, je le voulais aussi. Il avait été tellement sexy dans son costume, ce soir... Je m'en suis mordu la lèvre plusieurs fois, au point de la faire saigner.

Il faisait glisser ses doigts de haut en bas sur la peau lisse de mon ventre. Il finit par me retirer mon bas, et retira aussitôt le sien.

Il m'arrache de nouveau un gémissement quand il rentre en moi dans le prévenir, mais pas un crie de douleur, plutôt un crue de plaisir et de surprise. Je commençais vraiment à aimer ça, et cela arrivait de plus en plus fréquemment.

Il fit des coups de reins forts et secs, comme à son habitude tandis que je criais.

Le lit grinçait, puis finalement il jouit et vient en moi.

Ensuite, il s'allongea à demi sur moi, en s'appuyant sur ses coudes, laissant mon ventre tranquille.

Il me scruta en souriant, avant de déclarer :

— Même enceinte t'es toujours aussi performante, je suis surpris.
— Je suis résistante monsieur Payne, sachez-le. Ce n'est pas un bébé qui m'empêchera d'avoir du plaisir, lui dis-je en souriant à sa façon.
— Seriez-vous entrain de me dire que finalement ces activités vous plaisent, mademoiselle Scott bientôt Payne ?
— Cela se pourrait, en effet, monsieur Payne, dis-je finalement avant de passer mes mains derrière son cou et de le tirer contre mes lèvres pour pouvoir l'embrasser langoureusement à mon tour. Je t'aime, mon Daddy.

Je sens ses lèvres s'étirées en un sourire contre les miennes, puis il se décolle et me dit :

— Je t'aime aussi, ma Babygirl.

Daddy PayneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant