Chapitre 41.

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Pdv Aurelia.

Je fus soudainement reveillée par la sensation d'être compresser. J'ouvre les yeux, et je vois Liam en train de dormir paisiblement. Paisiblemen, certes, mais en attendant c'est moi qui suis comprimée entre un mur gelé et un Liam brulant...

J'essaye tant bien que mal de me dégager, mais Liam est bien plus lourd que moi, et c'est parfois tès embêtant quand monsieur s'endort sur toi alors que tu as pleins de choses à faire..

Je souris quand je repense à sa main posée sur ma joue, la veille.. Cette sensation est tellement.. Bonne? Ouais, c'est ça. Bonne.

Après une ou deux minutes, j'arrive enfin à me degager de cette étreinte, et je me masse l'épaule droite. Je sors de la chambre, et je descends à la cuisine. Je regarde l'here sur le four : 07h40. Je regarde ensuite par la fenetre, et je vois le ciel qui comence à rosir, alors je decide de commencer à faire le petit dejeuner.

Je connais Liam, je sais que lorsque l'odeur des oeufs brouillés et du bacon va monter jusqu'à sa chambre, il va descendre aussitot - ou presque.

Je sors tout ce dont jai besoin, puis je commence à tout preparer.

Une fois que tout est sortit, je casse les oeufs dans la poel, et je les mets déjà à cuire. Je me retourne, et sursaute... Liam était là, il me regardait avec ce sourire que je ne connaissais que trop bien, d'ailleurs...

Je te trouve bien matinal, aujord'hui, Bébé, dit-il.

Tu m'écrasais, et je n'arrivais plus à dormir de toute façon, alors je suis descendus pour nous faire une petit dejeuné. Je travaille aujourd'hui, nous sommes vendredi, je te rappelle, répondis-je.

Son expression du visage change presque aussitot après que j'ai prononcé le dernier mot de ma phrase.

Comment ça, tu travailles aujourd'hui ? Non, tu restes avec moi ! T'as pas le droit de me laisser seul !

Je le peux, je te rappelle que je ne t'appartiens pas, Liam !

Oh que si, tu m'appartiens, Aurelia !

A oui ? Parce que je suis un objet, maintenant ?, lui demandais-je.

Non tu n'es pas un objet, tu es humaine, mais je te rappelle que c'est MOI qui t'es dépuselée, c'est MOI qui t'ai pris ta virginité ! MOI, juste MOI !!!!, me crie-t-il.

J'ai mal qu'il me dise ça, et surtout sur ce ton là. Je ne suis pas son objet... J'ai un coeur, bordel, je suis humaine, je ne suis pas un objet sans coeur ni ame.

Puis il s'approche de moi, collant son bassin au mien, m'empêchant ainsi de bouger. Je me retenais de ne pas lui donner un coup de genou dans l'entre jambe, mais à quoi bon ? Ça ne l'empêcherai jamais de me baiser.

Daddy PayneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant