Chapitre 17- Drôle d'histoire n'es ce pas?

2.2K 149 12
                                    


Après ces mots, j'ouvris bêtement la bouche.
Que voulez vous que je dise?

Il s'approcha de moi est posa ses mains sur mes hanches. La traine de ma robe flottait derrière moi, je baisai la tête et rougis

Ouais je n'avais rien trouvais de mieu à faure.

je n'osai pas bouger. Son front était  contre le mien. Il sentait terriblement bon, et je dois avouer, que nos deux corps près l'un de l'autres ne me dérangeai pas du tout.
Nous ressemblons aux couples « parfaits », nos habits s'accordaient, il était tendre et...

Wow on se calme!

Je me reculai. Une goûte tomba sur ma nuque et me déstabilisa

Étrange...

Mais cela me fit remettre les idées en place. Tout cela avais un lien, de prés ou de loin avec Ron et ma sois disant « futur transformation ».

-Vous êtes celui qui à transformé Ron ?

Je reculai lentement.

-En quelque sorte...

Il s'avançait vers moi, je continuais de reculais et je finis par heurter la barrière du balcon.

Je crois bien que je n'avais jamais réfléchis aussi vite de toute ma vie.

Mais oui! S'étais lui mon...

-Mais s'est que tu es intelligente en plus, me dit-il en s'approchant, le sourire scotcher aux lèvres.

Je commençai sérieusement à stresser là, j'avais la soudaine impression que je ne ressortirais peut-être plus jamais d'ici, du moins pas vivante, ou dans la meilleure des solutions dans un piteux état.

Je tentai d'échapper à Val par la droite. Mais son bras puissant me barra la route.

-Où comptais tu allais, dit-il en prenant mon menton entre deux doigts.

-Je compte bien repartir.

Son visage se déforma, ses yeux devenaient rouges et ses canines supérieures ressortaient de sa bouche. Puis ses beaux yeux clairs réapparurent aussi vite que le rouge qui s'en étauent emparait.

Je fis un pas en arrière la bouche ouverte. Jamais Gordon, ni Ron n'avaient étés comme sa. Ma jambe percuta la barrière et je perdis pied, manquant de passer par-dessus celle-ci. Mais Val me rattrapa, j'aurai aimée qu'il ne le fit pas cela m'aurai au moins rendu ma liberté, car oui il me semblait qu'en entrant ici, à l'instant même, je l'avais perdus.

La table avait été servie.

-Je te pris...

Je pense que sa « transformation » n'avait était faite que pour me faire peur, et uniquement dans ce but.

Je m'assois donc en fasse de lui, et nous mangeâmes. Le diner été calme, ce qui contraster avec les mésaventures qui avaient précédées ce repas.

Une fois finis de manger, il me proposa de danser.

Nous nous avançâmes dans la salle de bal par laquelle j'étais passée pour aller sur le balcon. Une musique classique, la partition avait été composée pour un piano et un violon. La musique retentissait. Nous dansions depuis un long moment, lorsque mon talon ce cassa, me laissant m'effondrer sur le sol. Ma tête heurta le sol en marbre. Je relevais lentement ma tête. Val s'agenouilla.

-Es ce que ça va ?

Je ne répondis pas. Je fixai le balcon. Gordon apparut et disparut.

-Je... oui ça va.

Je tentai de me relevais mais Val me posa la main sur l'épaule.

-Reste calme, tu viens de te cogner la tête et je veux m'assurer que tout va bien. J'ai appelé un médecin il va arrivait.

Comment ça, il n'a appelé personnes, il n'a même pas pris son portable...

Les portes derrières nous s'ouvrirent, et un homme assez jeune en blousse blanche
_le stéréotype du médecin_ marcher vers nous. Il posa un genou à terre et me pris la tête ente ses mains, ses yeux se mirent à virer au blanc. Je regardai Val, celui-ci ne semblait pas inquiet.

-Ne bouge pas.

Sa voix était rassurante.

Je m'excusai et essayai de ne pas trop bouger. Après quelques minutes les yeux du médecin reviennent à la normal. Val se leva et suivit l'homme avec sa blousse sui s'éloigner de moi. Les deux mains posées derrière moi, me maintenaient le haut du corps sur élevé par rapport au sol.

Val me regardait tout en écoutant le médecin révéler son diagnostic.

Je sentis mon cou me brûler, par reflex je posai ma main dessus et sentis une source de chaleur au creux de ma paume. Mes doigts effleurèrent la chaînes autour de mon cou, par instinct, mes doigts descendirent jusqu'à toucher le pendentif en diamant qui me brûlais le doigt. Je retirai aussitôt ma main et me releva, Val sentis que quelque chose n'allait pas bien et en un battement de cil il se tenait devant moi, c'est yeux clairs le fixaient le pendentif, il se tourna regarda dans toutes les directions, comme si il attendait quelque chose, ou quelqu'un. Il me prit l'avant bras fermement, me tirant dans sa direction. Nous passâmes le hall de l'entrée et il me fit monter l'escalier

-Arrêtez vous me faites mal !

Mais rien ne lui fit lâcher prise. Il ouvra une porte en un claquement de doigt, celle-ci claqua contre le mur qui trembla après le choc.

-Tu vas passer la nuit ici, me murmura t-il à l'oreille.

-Il en est hors de question...

Il plaqua sa main sur ma bouche, me rapprocha de lui. Sa main était posée sur mon ventre tendis que l'autre était toujours contre ma bouche.

-Je peux faire en sorte que tu n'es jamais existais, que tes parents t'oublies ainsi que tes amis, comme si tu n'étais jamais née...alors fais ce que je te dis poupée... dit-il à min oreille.

Alors là s'en était trop. Je lui donnai un coup de coude dans les côtes, ce qui le déstabilisa me laissant m'échapper. Je le contournai...

Mais il se dressa devant la porte, tel une chouette sûr une branche observant sa proie.

-Sachait très cher Duc de je ne sais quoi que JE décide de ce que JE fais, et si J'AI décidée de partir, alors JE partirais.

Une rire se fit entendre, suivit d'un bruit sourd que fais un corps qui s'écroule.

Vampire GameWhere stories live. Discover now