OS Yaoi One Direction [Lemon]

°1 ~Ziam~ [Lemon]

Cet OS peut particulièrement choquer, vous êtes prévenus ! Je rappel que tout ça est purement fictif, que ça sort tout droit de mon imagination et je doute fort que ce genre de chose puisse se produire dans la vie réel... Mais bon, on ne sait jamais. Chapitre rempli de lemon à 95%, et il est très long. ^^

~PDV Zayn~

Il est vingt et une heure trente quand je passe la porte de mon chez moi. Je suis claqué, et comme d'habitude, ces abrutis de clients ne se sont pas montrés respectueux. Toujours à vous lorgner le cul comme si vous n'étiez qu'un vulgaire objet destiné à finir dans leur lit piteux pendant que leur femme se demandent où est-ce qu'ils se trouvent. Pathétique.

Je pousse un long soupire, et je commence à me déshabiller avant même d'être arrivé dans ma salle de bain. J'allume l'eau de la douche et j'enlève mon boxer avant d'entrer dedans. Je soupire de bien être en sentant l'eau chaude sur mon corps courbaturé. Un long massage me ferait le plus grand bien.

Comme tous les soirs en rentrant de mon fichu boulot de serveur, je me plains et je me promet que je chercherais un nouveau travail le lendemain. Et, comme tous les jours, j'abandonne et je retourne gagner le peu de salaire dans ce fichu bar. Barman, serveur, et cuisinier parfois pour la partie restau'.

Je sors de ma douche après un long quart d'heure. Je m'essuie rapidement et j'attrape mes vêtements sales pour les jeter dans le bac à linge qui déborde. Je fixe ce bac pendant quelques secondes, je me dis qu'il serait temps que je fasse la lessive. Et puis je hausse les épaules, je suis trop claqué, je le ferais demain.

Toujours à poil, je me dirige vers ma chambre. Je vis seul de toute façon, qui pourrait me voir ? Personne. J'enfile un short de sport gris sans prendre le temps de mettre un boxer. Je préfère quand ma queue est à l'air, c'est plus confortable, les boxers me gratte de trop.

Je finis par atterrir dans la cuisine, et quand je regarde dans le frigo,tout me donne envie de vomir. Je soupire pour la énième fois de la soirée avant de sortir une tasse d'une de mes armoire. J'attrape le sachet de dosette de chocolat avant de me placer devant la senseo. Le café n'est pas pour moi, je préfère le chocolat chaud.

J'attend patiemment que ce foutu bouton rouge cesse de clignoter. Au bout de dix secondes, ça clignote toujours, et je décide de regarder par la fenêtre devant moi pour ne pas foutre un coup de poing dans cette foutu cafetière.

Un banc en pierre se trouve juste devant ma petite maison, sur le trottoir d'en face. Et derrière ce banc se trouve un parc pas vraiment fréquentable. C'est dans ce parc que les dealers se réunissent pour vendre le plus possible de leurs merdes. Et c'est aussi là que quelques filles offrent leur corps.

Ce parc est un vrai mystère. Le jour, des enfants jouent et rient sur le toboggan pendant que leurs parents papotent tranquillement. Et la nuit, il devient un vrai foutoir. Je ne vis pas dans un quartier aisé, et il a beaucoup de défaut, mais ce parc est une des raisons de ma venue ici. C'est surement le seul parc à des kilomètres à la ronde, et quand je vais m'y promener, le jour bien sur, je me sens tout de suite beaucoup mieux.

J'ai déjà était pendant que les dealers faisaient leur trafic, une nuit où je n'arrivais pas à dormir. Plus jamais je n'y retournerais à cette heure-ci. Je n'ai pas peur facilement, mais quand je passais devant eux sans rien acheter, je peux jurer qu'ils étaient à deux doigt de me foutre leurs poings dans la gueule. Flippant. Et les prostitués n'arrêtaient pas de m'envoyer des regards aguicheurs, comme si j'étais intéressé par des prostitués.

Bon, peu être que si ça aurait été des hommes bien bâti, je me serais laissé tenter, mais elles ne ressemblaient en rien à un homme, ce qui est parfaitement logique.