La Roue Tourne [Terminé Et En Réécriture]

Chapitre 1: Je l'aime encore.

Avant que vous ne commenciez à lire j'aimerais vous signaler que j'ai écrit cette histoire il y a très longtemps et j'étais assez jeune, veuillez donc m'excusez pour toutes mes affreuses fautes d'orthographes.. Je corrigerai tout ça dès que j'aurais un moment :) Bonne lecture.

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Elle venait de me prendre sur le fait, je pensais qu'elle ne rentrerait que ce soir alors je l'avais encore fait. Je me suis encore mutilée.. Elle pleurait par ma faute, comment j'avais pu être si bête? J'étais tout ce qui lui reste. Je n'aurais jamais dû essayer. Faire ça était idiot. La raison l'était encore plus. Elle pleurait de plus belle et je me mis à culpabiliser.. Si jamais elle n'était pas arrivée à temps dans quel état serait-elle maintenant?

"- Maman...

- ...

Elle ne dit rien, et continua seulement de pleurer encore et encore, se reprochant des choses à elle même. Voir sa mère pleurer est un des sentiments les plus horribles qu'il puisse exister, et même si c'était ma faute et j'en suis consiente, je me mis à pleurer aussi.

- Comment j'aurais fait sans toi mon bébé...

Sa voix se brisa à la fin de sa phrase et je vis ces larmes défiler de plus en plus sur ces joues..

- Je me sentais si seule maman...

Je pleurais de plus belle, j'avais fait l'égoïste et je n'avais même pas pensé une seconde à ma mère, j'avais juste agi sans reflechir.

- Mais tu m'a moi, tu as des amies..et puis tu l'as LUI aussi. Qu'est-ce-que qu'il aurait ressenti à ton avis?

Quand elle me fit remarquer que "je l'avais LUI" j'éclatas en sanglot, ce n'était plus de simples pleures à présent... Elle ne savait rien. C'était faux. Je l'avais perdu.

- Il m'a laissé tomber maman... Dit-je difficilement entre mes sanglots.

Je fini donc par lui raconté que lui et moi c'etait fini. Bien sûr, j'avais évité tout les détails... Evidemment, comment je pouvais lui dire que le garçon que je lui avait présenté, et celui avec qui j'étais sorti pendant presque un an, m'avait quitté au bras de sa nouvelle copine, me disant d'un ton rieur qu'il n'était sorti avec moi que pour un vulgaire pari et qu'il m'avait ensuite laissé planter au milieu de tout ces gens en pleure et mon coeur brisé. Je lui avait envoyé un million de messages, me rassurant comme quoi se serrait peut être une blague. Mais il ne répondit ni à mes messages ni à mes appels. Ce n'était donc que la pure verité. J'avais déjà commencé à me mutiler le jour ou j'avais appri la mort de mon père. Mais je n'avais jamais eu le courage de passer à l'acte et je mettais arrêté.

Quand nous sortions ensemble, il avait en quelque sorte reussi à me faire me sentir un peu plus "vivante". Je n'avais plus ce besoin de me faire mal, j'était heureuse à ses côtés... C'est pour cette raison que je l'avais d'abord aimé. Mais tout ça n'etait apparament qu'un masque pour lui. J'étais tombée amoureuse d'un mensonge. J'étais vide de toute émotion. Ça faisait mal putain. Très mal. Tout ce que j'étais capable de faire était de pleurer et encore pleurer. Je n'étais pas forte. Je le sais. Mais je n'étais malheuresement pas le genre de personne à me vanger non plus et de toute façon je n'aurais pas pû. Je l'aime encore.