- Entré !

C'est Sam qui répond.

Une fille blonde au yeux bleu entre dans la chambre.
  
- Salut ! Je dis en souriant en la reconnaissant. Je l'ait vu plusieurs fois traîner avec Sam.

Sans me répondre elle s'approche de cette dernière...l'embrasse. Mais pas un simple baiser, vraiment le truc qui dure 5 minutes. Je suis choquée.

Sam remarque du coin de l'oeil que je suis en train de les obsetver, je détourne tous de suite le regard.

C'est elle qui mêt fin au baiser.

Sa partenaire se retourne vers moi juste après.

- Alors c'est toi sa coloc ?

- Oui.

Je répond le plus froidement que prévue, ce qui, étrangement fais sourire Sam.

- Tu ferai mieux de rester loin d'elle sinon...

- Arrête Nina, l'interrompt Sam. Nina la regarde surpise.

- ...Elle sait très bien qu'il vaut mieux qu'elle ne me fasse pas chié. Pas vrai, Gab ?

- Comme tu veux.

- T'as vu ? Bref, pourquoi t'est pas à la fête ?

- Et te laisser toute la journée seule avec une belle fille ?

- Merci pour le compliment, Je dis en lui adressant un sourire forcé.

C'est les deux qui se retourne  m'adressent les pires regards meurtriers.

- Oké j'ai compris, je vais fermé ma gueule, J'abandonne en détournant le regard sur mon téléphone.

Je déteste la blonde. J'allais finalement avoir une conversation décente avec Sam quand elle fout tout en l'air...en plus elle l'a embrassé.

- Nina, tu sais très bien que je déteste les surprises.

Sam déteste les surpises, c'est noté.

- Oké je vais partir, mais seulement si me dis qui c'est qui t'a convaincu à ne pas allé à la fête.

- C'est pas tes affaires.

Après ces derniers mots, Nina sort de la chambre, sans oublié de me jeter un regard douteux et dégoûté.
Je regarde Sam en attendant des explications. Mais elle fais genre de rien. Alors je décide de commencer.

- C'est ton...ta petite copine ?

- À ton avis ? Je lui ait roulé une pelle à ce que je sache.

- Vous n'avez pas l'air en très bonne relation.

- Ça fait 2 ans qu'on sort ensemble.

- Ah... et elle est allée où ?

Elle s'approche de moi l'air énervé.

- Toi, faut que tu cesse de poser des questions !

Je rougit jusqu'au front. Nos visage se retrouvant une deuxième fois tous proches. Putin, je ne sens plus mes membres et j'ai des frissons partout. Elle le remarque et transforme son visage froid en un magnifique sourire. Elle approche son visage encore plus près, de frissons parcourent tous mon corps et je ne cesse d'avaler ma salive.
C'est blague, oui c'est une blague. Je ne vais pas entrer dans son jeu. Elle veut que je recule mais je ne vais pas reculer, car elle va s'arrêter, non ? C'est quand elle penche la tête à gauche que je me rend compte de la situation.

Lesbienne pour toiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant