Aizawa, Le Professeur Principal. (Aizawa X Oc)

encore oups ? 🤷 (🍋)

POV TP /Ruby – soir du rendez-vous

Je montai les marches qui menaient au toit, le cœur battant si fort que j'avais peur qu'on l'entende.
Il faisait bon ; une légère brise d'été soulevait les pans de mon sweat.

Quand j'ouvris la porte...

Je restai figée.

Aizawa avait installé une couverture épaisse au sol, quelques coussins éparpillés dessus.
Une petite lanterne solaire brillait faiblement, diffusant une lumière dorée et douce.

Et surtout...

Des étoiles.
Plein d'étoiles au-dessus de nos têtes.

Il m'attendait, assis en tailleur, l'air incroyablement calme, presque... heureux.

Quand il me vit, son regard s'adoucit encore.

— Viens, souffla-t-il simplement.

Je vins.

Sans réfléchir, sans hésiter.

Je me laissai tomber contre lui, blottie dans ses bras comme une évidence.

On grignota quelques trucs — des sandwiches faits maison, des gâteaux un peu ratés qu'on dévora en riant doucement — et on regarda les étoiles, en silence, main dans la main.

Le temps semblait suspendu.

À un moment, Aizawa tourna légèrement la tête vers moi.

Son regard accrocha le mien.

Brûlant.

Intense.

Je sentis mon ventre se tordre doucement.
Une tension familière monta, sourde, impossible à ignorer.

Il glissa lentement ses doigts sur ma joue, ses pupilles dilatées.

— Ruby... murmura-t-il.

Je n'attendis pas.
Je me penchai, pressant mes lèvres contre les siennes, douce, tremblante d'envie.

Il répondit aussitôt.
Plus fort.
Plus avide.

Les choses dégénérèrent vite.
Très vite.

Il bascula doucement sur moi, ses mains glissant sous mon sweat, effleurant ma peau nue.

Je soupirai contre sa bouche, mes doigts agrippant son t-shirt.

La nuit, les étoiles, sa chaleur contre la mienne...
Tout devint flou, urgent, brûlant.

Les vêtements disparurent en silence, dans des gestes fiévreux, maladroits mais tendres.

Sur cette couverture posée à la hâte, sous l'immensité du ciel nocturne, je lui offris tout ce que j'étais.
Et il prit soin de moi, chaque caresse, chaque baiser chargé d'un amour brut, incontrôlable.

Notre souffle se mêlait, haché, rauque.

Il chuchotait mon prénom contre ma gorge.
Je gémissais doucement contre sa peau.

J'étais à lui.
Il était à moi.

Ici, maintenant.
Pour toujours.

quelques heures plus tard – toujours POV TP

On s'était endormis à moitié là, épuisés, encore nus, blottis l'un contre l'autre sous une couverture.

Quand soudain —