Imagine 22 : Ares Hidalgo 🍋

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Ares a trouvé l'amour, auprès de T/P. Et bien qu'au début, il était un peu intéressé par sa sœur Raquel, avec T/P ça a été le coup de foudre. Après que ses parents aient acceptés qu'il fasse des études de médecine, il a quitté Barcelone et s'est rendu à Stockholm pour étudier à la fac. T/P l'a rejoint pendant les vacances du jeune homme et ce soir est une soirée spéciale puisque c'est la Saint Valentin. Alors après un dîner romantique dans leur appartement, Ares s'est empressé de tendre un petit sac rouge à sa petite-amie.

- Qu'est-ce que c'est ?

- Si je te le disais, ce ne serait plus une surprise, plaisante t-il.

Elle sourit et attrape le sac pour y plonger la main. T/P en sort un écrin et l'ouvre pour découvrir une belle paire de boucles d'oreilles en diamant.

- Mon Dieu, Ares...

- Elles te plaisent ?

- Elles sont magnifiques ! Merci, mon amour !

La jeune femme se lève et contourne la table pour embrasser Ares. Il sourit à travers leur baiser, entraînant T/P sur ses genoux. Celle-ci s'écarte, et sourit.

- A moi de te donner mon cadeau. Il est un peu moins cher que le tiens mais je suis sûre qu'il te plaira.

- Tu sais que je m'en fou de l'argent, seule toi m'importe.

T/P lui vole un baiser et se relève.

- Tu ne bouges pas d'ici !

Elle file dans la chambre et prépare tout de dont elle a besoin avant de se changer. La jeune femme retourne au salon où Ares est installé sur le canapé.

- Je ne te pensais pas si entreprenante, chérie, sourit le brun lorsque sa copine apparaît vêtue d'un léger peignoir en soie.

- Tais-toi, ricane t-elle. Tu vas peindre !

- Peindre ? S'étonne t-il. Quoi ?

- Moi.

T/P délasse son peignoir qui s'écrase au sol. Le regard du jeune homme s'assombrit lorsqu'il découvre le corps seulement vêtu d'un tangua.

- J'ai peur d'être distrait par mon modèle, plaisante Ares en se levant.

- Aller, Jack. Peins-moi comme l'une de tes Françaises, raille T/P.

- Bien Mademoiselle.

Ares se penche vers la table basse où T/P a posé une palette avec différentes couleurs de peintures. Il attrape un pinceau qu'il trempe dans de la peinture bleue avant de tracer une fine ligne entre les seins de la jeune femme. Elle tressaille sous la froideur de la gouache. Tout en dévorant sa petite amie du regard, Ares continue lentement son chef-d'œuvre.

- Qu'est-ce que ce que tu as fais ? Demande T/P quand Ares recule pour admirer son dessin.

- Une rose.

- Continue, partout.

Il esquisse un sourire et retrempe son pinceau qu'il passe sur sa clavicule puis sur chacun de ses seins. L'air est chargé d'électricité et d'excitation. Ares abandonne le pinceau et utilise ses doigts. Bientôt, le haut du corps de T/P est couvert de peinture et son cou en est aussi imprégné lorsque Ares le prend entre ses mains pleines de gouache pour approcher son visage de celui de T/P et de l'embrasse fougueusement.

- Tu me rends fou, dit-il entre deux baisers.

T/P sourit et déboutonne la chemise que porte le brun avant de la laisser tomber sur le sol. Elle saisit la palette et y trempe ses doigts pour dessiner des lignes et courbes sur le torse musclé d'Ares. Il attrape ses poignets et colle son corps au sien, étalant la peinture fraîche sur celle sèche de la poitrine de la jeune femme. Ares soulève T/P par les cuisses et l'allonge sur le canapé derrière eux. Il embrasse les parcelles encore vides de sa peau et fait glisser sa culotte le long de ses jambes avant de faire de même avec son boxer.

- Comment est-ce que tu veux que je te fasse l'amour ? Murmure t-il contre sa bouche. Lent et doux, comme le ferait un mari à sa femme le jour de la Saint-Valentin ? Ou alors rapide et sauvage, comme on a l'habitude de le faire ?

- Deuxième option, souffle T/P.

- Je devais m'en douter, sourit Ares.

T/P prend son visage en coupe pour l'embrasser tandis qu'il entre en elle. Elle enroule ses jambes autour de sa taille, un frisson remontant le long de son échine. Il va et vient en elle de plus en plus fort et de plus en plus rapidement. Ares entrelace ses doigts avec ceux de T/P et plaque ses mains au-dessus de sa tête.

- A-Ares !

Ils viennent en même temps et reprennent leurs souffles, haletants.

- Ares, gémit T/P.

- Mmm ?

- T'es pas qu'un Dieu grec, t'es aussi un Dieu du sexe !

- Et bah ça, ça fait plaisir, rit-il.

Il se redresse et la prend en mode princesse.

- Qu'est-ce que tu fais ? Sourit-elle.

- On va prendre une douche. Une bonne, douche, chaude.

T/P éclate de rire en se laissant porter jusqu'à la salle de bain.
Le couple est allongé dans leur lit, T/P est blottie contre Ares qui caresse tendrement son épaule.

- Mon amour, je dois te dire quelque chose.

- Tu me quittes ? Le jour de la Saint-Valentin ? Je te savais sadique mais pas à ce point là !

- Mais non, abrutit !

La jeune femme roule pour se mettre à califourchon sur son petit ami, qui saisit ses hanches de ses grandes mains.

- Qu'est-ce que tu veux me dire ?

- Tu te souviens du roman que j'ai écris ?

- Le livre hot ?

- Il n'est pas hot ! Il y a juste quelques passages...

Elle fait courir ses doigts sur son torse nu.

- Intimes. Enfin bref. Avant que je te rejoigne, j'ai envoyé le manuscrit à une maison d'édition et ils m'ont proposés un contrat pour le publier !

- C'est merveilleux, chérie !

Ares se redresse pour embrasser passionnément sa copine. T/P sourit et s'écarte et enroulant ses bras autour de son cou.

- Mais ce n'est pas le plus important.

- Vraiment ?

- En plus de ça, ils m'ont proposé un poste dans leur maison d'édition parce que j'ai fais des études pour y travailler. Ils n'ont pas seulement des maisons à Barcelone mais il y a en a aussi une à Stockholm.

- Tu veux dire que...

- Eh bien... si la seconde place de ton lit est libre, j'aimerais bien l'occuper pendant un long moment.

- Tu veux venir habiter avec moi ?!

- Non, avec ta grand-mère, crétin !

Ares rit et acquiesce vivement avant de plaquer sa bouche sur celle de sa petite amie. T/P approfondit le baiser en ondulant des hanches contre le brun.

- Insatiable, hein ? Ironise t-il.

- C'est à cause de toi, Dieu grec.

- C'est vrai que je suis doué.

- Ne te lance pas des fleurs, non plus.

- Ah ouais ? Je pourrais te faire jouir juste en te parlant et en te frôlant.

- Et bah prouve-le !

Ares fondit sur ses lèvres et échange leur position. Et le pire, c'est qu'il a réussit ce Dieu grec. 

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