Commande imagine 19 : Yelena Belova

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Je m'appelle Maxime Stark et j'ai 21 ans. Je suis un grand brun aux yeux bleus qui suis drôle mais parfois très chiant. Je suis le fils de Tony Stark, alias Iron Man. Depuis très jeune, j'ai été entraîné par Natasha qui est comme une grande sœur pour moi. Et vivre avec un père comme héros, n'est pas toujours facile. La preuve, j'ai été enlevé par Hydra puis vendu au KGB et a été présumé mort pendant plus de dix ans. Une partie de ma vie que je préférerais oublier et j'en fais encore des cauchemars.
Malgré mon jeune âge, je suis un des meilleurs agents du SHIELD. Mon père n'était pas vraiment pour que j'entre au SHIELD mais vu que j'étais majeur, il n'avait pas son mot à dire. C'est aussi grâce à Fury que j'ai pu être innocenté pour les crimes que j'ai pu commettre pendant la période sombre de ma vie, alors j'ai comme une dette envers lui que je rachète en faisant des missions pour lui.
Je rentre d'ailleurs d'une mission particulièrement épuisante. J'ai réussis à démanteler un cartel de terroristes de l'intérieur et j'ai bien faillis y rester. Après avoir été donner mon rapport à Fury, je monte sur ma moto et fonce jusqu'à la base des Avengers. Je suis content que Peter soit dans l'équipe car comme ça, je ne suis plus considéré comme le plus jeune. On s'entend bien tout les deux.

- Salut la compagnie, lancé-je en entrant dans le salon, tout en étouffant un bâillement.

- Salut, fils ! Me salue mon père. Comment ça va ?

- Épuisé et j'ai mal au crâne.

- Prend un cachet pour te soulager, me conseille Wanda d'un sourire tendre.

Je la remercie et vais dans la cuisine pour me servir un verre d'eau. Les portes de l'ascenseur s'ouvre et étant dos à elles, je n'entends que des voix en sortir.

- Romanoff, on ne vous attendait plus, fait Steve.

- Y avait du monde sur la route Rogers. Mais bref, je vous présente ma sœur, Yelena. Fury l'a rapatrié du KGB.

À l'entente de ce prénom, je me fige, les yeux écarquillés. Yelena n'est pas un prénom commun, surtout à New-York. Je pose mon verre sur le plan de travaille car mes mains tremblantes et je crains de le faire tomber.

- Maxime ! Vient dire bonjour !

Je déglutis difficilement et rejoins mon père en fixant le sol, le visage caché derrière mes cheveux.

- Tu dois déjà avoir entendu parlé de toute l'équipe, dit-il à Yelena. Mais voici mon fils, Maxime.

Je relève lentement les yeux et croise le regard de Yelena qui recule d'un pas. Sa sœur se tourne vers elle, inquiète.

- Yelena ? Tout va bien ?

- Max ? Souffle Yelena.

Les regards alternent entre moi et la nouvelle venue alors que je fais un léger sourire.

- Salut, Lena.

Elle rompt la distance entre nous et me saute au cou. J'enroule mes bras autour d'elle pour lui rendre son étreinte, posant ma tête contre son épaule.

- Je croyais que tu étais mort, dit-elle.

- Il faut croire que je suis difficile à tuer, plaisanté-je.

- Attendez, vous vous connaissez ? Intervient Nat.

On s'écarte l'un de l'autre mais je garde un bras dans le dos de la blonde.

- On s'est rencontré quand j'ai été vendu au KGB.

- Maxime a été présumé mort pendant cette période, explique mon père.

- Bon, du coup, je te laisse lui faire la visite, sourit l'espionne.

J'acquiesce et entraîne Yelena vers le couloir qui mène aux chambres. Je lui montre la sienne et on s'installe sur le bord du lit qui trône dans un coin de la pièce.

- J'ai eu tellement peur lorsqu'on m'a dit que tu étais mort, soupire Yelena en prenant ma main.

- Ce n'est pas étonnant qu'on t'es dit que j'étais mort plutôt que j'avais réussis à m'échapper.

Je me tourne vers elle et attrape ses mains en entrelaçant nos doigts.

- J'aurais dû revenir te chercher. Après que j'ai retrouvé mon père, j'avais les moyens pour revenir te sauver. Je n'aurais pas dû te laisser dans ce cauchemar.

- Eh, fait doucement la blonde en posant une main sur ma joue. Ce n'est rien. Te croire mort était pire que de rester là-bas.

- Je suis désolé, Yelena...

- Arrête de t'en vouloir Max. Ça ne m'empêche pas de t'aimer.

Je souris et approche ma tête de la sienne pour l'embrasser. Je souris à travers le baiser tandis qu'elle enroule ses bras autour de mon cou. En manque de souffle, on se sépare, front contre front.

- Je t'aime, Max.

- Moi aussi, Lena.

On échange un regard empli d'amour. 

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