9Months TOME IV (LARRY STYLINSON MPREG)

Chapitre 8

''-Où il est?! Comment il va?!

-Louis, calme toi.''

Sans perdre son calme, Perrie avala la distance jusqu'à moi avec un fin sourire amusé, m'aida à me débarrasser de mon manteau parsemer de flocons de neige entrain de fondre sur le tissu.

''-Il est dans votre chambre et ses contractions sont encore espacées de quinze minutes.

-Depuis quand ça dure?

-Il m'a appelé aux alentours de dix heures quand il a comprit que cette fois, c'est pour de bon. Me répondit-elle avec un léger rire.

-Et pourquoi il ne m'a pas appelé moi? Répliquai-je en retirant nerveusement mon écharpe, agacé, frustré d'apprendre que pendant que j'étais tranquillement au travail, lui subissait ses contractions sans moi.

-Parce qu'il ne voulait pas te faire louper le boulot pour rien. Me dit-elle sans perdre son sourire. Il va bien. Insista-t-elle. Là il est entrain de rebondir sur son ballon de grossesse avec un bol de glace à la vanille.''

Malgré moi, je l'accompagnai dans son rire en imaginant parfaitement la scène qu'elle me dépeignait.

''-On a regardé la télévision, mangé des cochonneries et on est sorti quelques minutes dans le jardin pour qu'il voit tomber la neige avant qu'il se plaigne que le froid lui donne envie de pisser.''

Plus elle parlait, me racontait leur journée, plus je me détendais. Même si j'aurai aimé qu'il me prévienne plus tôt, j'étais rassuré de savoir que Perrie était restée à ses côtés tout ce temps, qu'elle prenait soin de lui.

''-Maintenant c'est à toi de gérer papa. S'exclama-t-elle en récupérant son manteau pour l'enfiler. Je vais chercher les petites à l'école. Me sourit-elle avant de me prendre dans ses bras. Avec Zayn on s'occupe de Nate et Aurore ce soir. Mais pensez quand même à nous prévenir quand la crevette pointera son nez.

-Merci Perrie. Qu'est ce qu'on ferait sans toi? Plaisantai-je, laissant son rire résonner quelques secondes à mon oreille.

-Oh mais vous seriez totalement perdus sans moi! Répliqua-t-elle en se décalant.''

Avec un sourire plein de malice, elle m'adressa un clin d'œil complice avant de sortir pour se perdre dans le froid de cette journée d'hiver.

Et j'étais bien forcé d'admettre, qu'elle avait raison.