𝐀𝐲𝐚𝐚𝐦 : - « 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐨𝐢, 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐢𝐫 𝐨𝐮 𝐦𝐨𝐮𝐫𝐢𝐫 . » [𝟏]

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𝒜𝓎𝒶𝒶𝓂 ...

𝐇𝐨𝐮𝐬𝐬𝐞𝐢𝐧𝐲 : ton frère, il va régler quoi à distance ?

Bilel : tout

Il sort ton bigo :

ℳ𝑜𝒾 : ...

Bilel : il ne répond pas...

𝐇𝐨𝐮𝐬𝐬𝐞𝐢𝐧𝐲 : fais en sorte qu'il réponde, parce que tu ne vas pas bouger d'ici temps que tu n'as pas trouvé une solution.

ℳ𝑜𝒾 : c'est l'occasion de se ternir compagnie.

Bilel : au pire, on s'arrange, je te donne des sous non ?

ℳ𝑜𝒾 : tu as combien ?

Housseiny : toi, tu me donnes des sous ? Mais tu me prends pour un con ?

Bilel sort une liasse de billets de sa sacoche :

Housseiny : tu as 5 k sur toi ?

Bilel : même pas, mais tranquille.

Housseiny ça se voyait qu'il voulait le démarrer :

ℳ𝑜𝒾 : tu cherches les problèmes

Bilel : même pas

Housseiny : tu te sens drôle du coup ?

Housseiny : w'اللّٰه que je commence à perdre patience

Bilel : attend, il me rappelle

Il prend l'appel de son frère :

Bilel : ouais

... : ouais

Bilel : j'ai rentré ta voiture dans un mur.

On entend, alors qu'il n'a pas mis le téléphone sur haut-parleur, son frère crier sur lui. Bilel nous fixe en attendant que son frère finisse de crier. Il éloigne le téléphone de son oreille :

Bilel : il est énervé, c'est pour ça

ℳ𝑜𝒾 : tu es un rigolo toi

Bilel : ouais

Il remet le téléphone à son oreille :

... : ...

Bilel : et moi, je fais quoi ? Il faut que tu viennes m'aider, sinon je vais me faire démarrer.

... : ...

Bilel : je m'en fous, envoie ton pote

... : ...

Bilel : vas-y, j'attends

Bilel : je t'envoie ma localisation

Il raccroche, range son téléphone puis s'appuie sur la voiture :

Bilel : le shab à mon frère, il arrive, ne vous inquiétez pas.

𝐇𝐨𝐮𝐬𝐬𝐞𝐢𝐧𝐲 : personne ne s'inquiète à part toi-même et ton frère.

ℳ𝑜𝒾 : on va faire connaissance alors.