Chapitre 49

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Salam Aleykoum,

Il me donne la bague je la reprends avec un sourire et là remet , à ce moment là j'étais tellement perdu dans ma vie j'ai tout pardonné à Imran , c'était la seule personne qui me restait donc pourquoi la laisser partir ?

Moi : Al hamduLillah ! T'es aussi hospitalisé ici ?

Mdr il avait la tenue de l'hôpital même comme ça il est beau mais bien ridicule !

Imran : Ouais...

Après ça y'a eu un blanc, je repensais à tout et en même temps j'avais mal au partout. Petit à petit je reprenais vraiment l'esprit...

Moi : Comment il a su ?

Imran : T'es sur tu veux le savoir ?

Moi : Oui s'il te plaît...

Imran : Ta réaction déjà il a eu des doutes puis après il est venu comme un ouf ici, mdr à peine je m'étais réveillé et il est venu me demander. J'ai pas menti je t'ai dit j'assumerai toujours et jamais tu seras une honte pour moi puis il a vu ta bague il a commencé à me dire « elle m'a pris pour un bouffon, Marwa de mon cul ouais ».

Moi : T'aurais du mentir... Putain...

Imran : Vas-y toi, t'as cru j'étais un pd ! J'assume et je m'en bas les couilles de leur réaction ! C'est pas avec eux que je vais me marier.

Moi : Tu te rends compte ! T'as pensé que à toi là ! Et moi ? Ma mère veut même plus de moi !

Je lui en voulais d'avoir dit la vérité mais d'un côté il a eu raison, fallait bien que ça se sache un jour. À force de pleurer j'avais mal à la tête.

Le médecin est rentré, il a vu Imran mdr il a cru que c'était de sa faute que j'étais là.

Médecin : J'aimerais parler seul à seul avec mademoiselle D*****, d'autant plus que les infirmières vous attendent monsieur.

Mdrr pour une fois Imran sors sans broncher.

Médecin : Vous savez que les violences conjugales....

Moi : Ce n'est pas de ça faute que je suis là.

Médecin : Vous avez été amenez par vos amies vers 14h, on vous a mis sous anesthésie pour soigner vos blessures.

Je savais même pas quelle heure il était, juste il faisait nuit.

Médecin : Sans indiscrétion comment avez-vous eu ces blessures ? On parle quand même de plusieurs hématomes de taille assez importante, votre arcade sourcilière est ouverte.

Moi : Rien de grave, s'il vous plaît n'en faites pas tout un drame, je suis majeure et responsable.

Médecin : ...Bon , j'ai essayé d'appeler votre mère au moins mais sans réponse, avez-vous une autre personne de votre famille joignable ?

Moi : Oui je vais appeler, quand vais-je sortir ?

Mdr il voulait me garder mais j'ai négocié à demain. J'voulais appeler ma mère mais j'avais pas mon téléphoné. Ce que Imran m'a dit à ce moment là j'ai refusé de le comprendre, pour moi ma mère m'avait pas renié et elle n'allait jamais le faire.

La douleur commençait vraiment à venir donc je me suis levée pour aller à la salle de bain et là j'ai vu mon reflet. J'ai eu peur de moi même, j'étais affreuse ! Mon visage tout gonflé, eh pardon.

Après ça j'me couche sur mon lit, j'regarde la télé et Imran revient mdr lui les infirmières vont le choper !

Imran : Ça me deuhhh l'hôpital.

Chronique de Aïda : Le seul qui a su me faire sentir aiméOù les histoires vivent. Découvrez maintenant