-272- Au-revoir

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Quelques minutes, plus tard, Arturo avait été mis sr un brancard, la pression que l'on ressentaient était bien moins grande que celle de Monica, après tout personne ici pouvez affirmer qu'Arturo était le meilleur de tous les otages.
L

orsque l'on arriva dans le hall, je vis alors que Gandia n'était plus là ce qui était une bonne chose, Bogotá l'avait sorti quelques minutes avant notre arrivé.

'' Ouvrais les portes'' Hurla Lisbonne poussant de toutes ses forces le brancard

'' Qu'est ce qui c'est passer ?'' Demanda alors Nairobi

'' Stockholm lui à tirer dessus''  Dis-je m'arrêtant à côté d'elle

'' C'est pas vrai ?'' Me demanda t-elle bien étonner

Il faut dire que personne ici n'aurait pu croire un jour que Monica aurait un jour tirer sur le père légitime de son enfant, il suffisait de la côtoyer plus de quelques minutes pour savoir que cette femme aux cheveux blonds était un véritable ange comparer à nous.
Mais je n’eus le temps de me concentrer sur ce qui se passait autour de moi que Suarez, les yeux assez rouge était devant moi.

'' Bon, je crois que c'est ici que nos chemins se sépare'' Annonça t-il sur un ton assez fébrile

'' Oui à première vue'' Dis-je cachant la douleur qui se produisez dans ma poitrine

'' On n'a pas le temps pour les adieux'' Dit alors Palerme à quelques centimètres de nous

'' Prend soin de toi et fait en sorte de sortir vivante d'ici''  Me dit Suarez

'' Ouais, toi prend soin de ta fille'' Dis-je amèrement

Il me regarda une dernière fois avant de tourner talon mais s'arrêta, je soupira et lui fit un sourire qu'il me rendis, je ne m'attendez pas à une scène de film de romance ou le héro décide de changer d'avis car l'amour est plus fort que tout, je savais pertinemment que la vie s'éloigner le plus possible du cinéma, c'est pourquoi les jeunes filles en manque d'amour aimer t'en les romances à l'eau de rose, pourquoi les femmes qui rester avec leurs mari pour les enfants aimer t'en ses romances à la con, elles leurs permettaient de s'évader de leurs quotidien, elle leurs permettaient de rêver, mais ici, la rêverie n'était pas à l'honneur.
Il prit tout de même soin de venir à nouveau ers moi et de m'embrasser, je me sentais stupide quelques instants, car tous les regards étaient braqués sur nous, sur ce baiser de cinéma, je sentis une dernière fois ses lèvres sèches sur les miennes avant qu'elles ne me quittent dans un mouvement brusque.
Il me fixa une dernière fois et rejoignit Arturo toujours allongé sur son brancard le pouls très lent.

''Il est parti'' Me dit alors une voix dans ma tête ''Qu'elle dommage, il faut que tu t'y habitue Pripiat''

Je ne mis que très peu de temps à reconnaître cette voix, je soupirai et la chassai de ma tête aussi vite que possible.
La porte s'ouvrit et les quelques otages que nous avions décidé de laisser sortir se mirent à courir, au loin, je voyais Suarez pour la dernière fois.

'' Fermer les portes'' Hurla Palerme

Les lourdes portent se refermèrent dans un grand fracas, nous emprisonnant une dernière fois dans ce cimetière géant.

'' Et Prip'' M'appela Denver

'' Pripi ? C'est nouveau ça'' Dis-je riant légèrement

'' Il faut qu'on soigne ton dos''

'' Ouais je sais'' Dis-je en me tournant vers lui

'' Aller viens''

Je suivis Denver un peu plus loin, il me demanda de m’asseoir sur une chaise, ce que je fit dans un calme remarquable, j’enlevai mon t-shirt sous son regard, ce qui ne m'avait jamais gêné, Denver était comme un petit frère.

''Qu'est ce que tu sous entendait  tout à l'heure'' Me demanda t-il prenant une pince dans sa main

'' Quoi ? Tu crois vraiment que personne ne remarque ce qu'il se passe entre toi et Manille'' Dis-je avec douleur

'' Il ne se passe rien'' Dit-il retirant un premier morceau

'' Ne me ment pas Denver, je suis très loin d'être conne, je sais quand un mariage vas mal et encore plus lorsqu'une personne est attirer par un beau gosse''

'' Merci du compliment''

'' Il faut que tu parles avec Monica, elle t'aime''

'' Elle ma plaquer'' Dit-il sur un ton ferme

'' Elle t'a plaquer parce que tu t'es conduit comme un fils de pute''

'' Quoi ?'' Dit-il en s'arrêtant  ''J'ai perdu mon père dans un braquage, je sais ce que ça fait et je n'ai pas envie que mon fils vive ça''

'' Denver, je comprends, mais Monica est suffise ment grande pour savoir ce qu'elle fait et tu ne l'as pas dit comme il faudrait''

'' Je dois réfléchir avant de parler à ma femme maintenant'' Soupira t-il

'' C'est le principe même du mariage abruti''

Il tirait encore et encore des petits morceaux, durant un temps, j'en avais presque oublié la balle qu'il avait pris dans le bras, jusqu'à ce que sa main ne tremble.

'' J'ai fini'' Dit-il

'' Merci bien, tu devrais voir avec Tokyo pour qu'elle t'enlève cette balle"

'' On parle de moi'' Dit-elle en entrant dans la pièce ''Je venez justement vérifier les blessures de notre cher dur à cuir''

''Je vais vous laisser'' Dis-je en me relevant

Je pris mon t-shirt et sortis e la pièce tout en l'enfilant. Je descendis les marches et rejoignis les autres qui étaient en train de préparer la suite de notes casse, bien que nous n'avions aucune nouvelle du professeur depuis quelque temps, la vie ici, devait continuer, c'est ce que nous avions appris lors du premier casses. Je pris mon gilet par balles et l'enfilai sous les directives de Palerme.

'' Pardon pour l'analogie avec le foot, mais c'est tout ce qu'il me viens'' Dit alors Palerme ce tenant droit devant nous comme un caporal ''Dans les coupes du monde, on devine parfois qui va perdre en regardant la peur sur le visage des joueurs qui chantes et c'est l'atmosphère que je ressens ici en ce moment, et on va changer ça''

'' Un match ça se joue à onze contre onze'' Annonça Denver qui était revenu entre temps ''Ici on est dix contre dix-milles et s'en entraîneur''

'' Dingue, dingue, dingue'' Hurla Palerme ''Une nouvelle nous arrive depuis la banque d'Espagne, Alicia Ciera ne porte plus son bandeau de policière'' Annonça Palerme à quelques centimètres du visage de Denver ''Ils l'on défenestrer, ils l'on lâcher,  maintenant, c'est un électron libre, vous savaient ce que ça veux dire non ? Le professeur n'est pas encore tombé, il joue son propre  match''

'' Tu oublie qu'il joue contre une folle'' Lui dit alors Rio

'' Non'' Intervenu Lisbonne '' Elle n'est pas seulement folle, c'est une psycho-folle de rage trais par son propre camp, ils l'on jeter au lion et elle à sûrement compris que le professeur n'est plus son pire ennemie''

'' On partage le même ennemie maintenant'' Dis-je en serrant mes lacés de bottes ''Si le professeur ce débrouille aussi bien qu'avec Lisbonne, peut-être qu'elle rejoindra la partie''

'' J'ai pris ma décision seule'' Ajouta Lisbonne rectifiant ce que je venez de dire

'' Comme nous tous'' Dis-je à nouveau ''Bon on reste ici à parler potin ou on y va?'' Demandais-je en manque d'action 

...
Bonjour, bonsoir mes petits Dalhi
Et voilà au revoir Suarez !
La grosse bise

Le casse du siécle -Parti 2-Where stories live. Discover now