-255- Rub a Dub

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Cela faisait quelques minutes maintenant que nous étions tous les trois dans la pièce surveillant Gandia, nous étions alors assis à même le sol, Palerme et Helsinki fixer un point imaginaire sans dire un mot, il faut dire que nous étions tous les trois un peut abasourdie parce qu'Helsinki nous avait annoncer avoir eu une relation avec Delhi, tendis que je regarder ma jambe, la plaît était fermer, aucun point n'avaient sauter mais les antidouleurs commençait à ne plus fonctionner sur mon organisme ce qui commencer à me faire mal.

''Je suis désoler'' Dit Palerme soudainement, brisant le long silence qui c'était installer

Je tourna alors la tête vers lui, baissant le bas de ma combinaison sur ma plaît, Helsinki qui à lui fixer toujours ce point imaginaire.

''Je suis directement responsable de toute cette merde'' Ajouta t-il un peu désespérais

''Non tu crois'' Dis-je en roulant les yeux vers le ciel

''J'ai pas réfléchi à la douleur que sa aller causer... que sa aller te causer'' Dit-il en se tournant vers Helsinki

''Tu connais quoi à la douleur
Palerme?'' Demanda Helsinki d'une voix froide

''Plus que tu ne le pense'' Dis-je à Helsinki en le regardant

J'avais perdu les deux amours de ma vie, Léonid et Berlin, mais j'avais surtout perdu Berlin, le seul qui me comprenez, le seul... Palerme avait lui aussi perdu Berlin, le grand amour de sa vie, perdre un membres de sa famille fait mal, très mal même, mais perdre son âme sœur, perdre l'amour de sa vie, c'est bien pire encore, sa vous poignarde en plein cœur, sa vous coupe le souffle, sa vous entaille les veines, sa vous colle de l'arthrose dans le cœur et dans l'âme... Palerme savait mieux que n'importe qui ce qu'était la douleur.
Après un long silence, Helsinki repris la parole.

''La douleur c'est comme un usurier'' Dit-il avant de regarder droit devant lui ''Au près de qui on aurait une dette que l'on ne payera jamais''

''Je peut supporter un tas de douleur'' Dit Helsinki sans bouger son regard

''Sérieux? Et la douleur que tu ressent en ce moment, elle est différente non? Je les vue dans t'es yeux, je les vue et j'ai crue me voir moi, tu peut pas savoir dans quoi tu vas tomber mon frère''

Les paroles de Palerme me mettez un coup de poignard dans le cœur, à vrai dire, ses paroles ne faisait que d'enfoncer le poignard qui avait était planter quelques temps plus tôt. Je lâcha le regard de Palerme, ne pouvant affronter celui-ci, sachant que des larmes me remonter au yeux.

''Aujourd'hui j'en suis sorti'' Ajouta t-il ''Mais si tu y reste ''Tu risque de devenir une merde comme moi, parce que au cœur du monstre que je suis devenus il y a un mec qui gâche tout ce qu'il touche, quelqu'un qui veux mourir depuis des années''

''Et on en sort jamais'' Dis-je la voix faible

''Jamais'' Ajouta Palerme en me regardant ''Écoute mon frère, c'est des conneries ce que je t'es dis au sujet de Boum boum Ciao, je t'es traiter comme de la merde, je sais pas, j'y arriver pas... je pouvez pas, je me sentez pas capable d'affronter sa... je... j'ai était lâche car j'ai perdu le seul qui me permettais d'être fort, mais maintenant je te lécherais plus, je serrais toujours à t'es coté''

''Je sais'' Dit Helsinki ''Je sais qui tu est depuis le début''

''Je m'appelle Martin Berrote'' Dit Palerme

Je les regarda, les yeux larmoyant, jamais je n'aurais crue que les mots de Palerme me ferrais changer d'idée, jamais je n'aurais crue un jour être comprise par quelqu'un d'autre que Berlin, mais qui d'autre aurait pu ressentir cette douleur part lui?
Je me leva dans un calme effroyable, sécha mes yeux qui était embaumer de larme, et sorti de la pièce sous le regards des deux hommes, j'avais compris bien des choses lors de tout les braquages que javait pu faire, mais je venait d'apprendre quelques chose de fort, du moins c'est ce que je ressentez, on pouvez être briser, on pouvez mourir de l'intérieur, jamais on ne pouvez plus rien ressentir, c'était impossible, j'aimais mon fils malgré tout, j'aimais le prof, Marseille, Nairobi... je m'étais juste cacher de tout sa, comme une combinaison, je n'étais peut-être pas une bombe à retardement.
Je me dirigeais en direction de la bibliothèque, je poussa la porte sous le regard des otages, Kopatchi et Montréal étaient tous deux en train de gérer les otages qui était sage comme des images, même Arturo qui devait avoir froid rester calme.

''Kopatchi, je peut te parler'' Lui demandais-je d'une petite voix

Il me regarda, assez étonner de me voir les yeux rouge et venus un peut inquiet avec moi en dehors de la bibliothèque.

''Qu'est ce qui t'arrive?'' Me demanda t-il aussitôt

''Laisse moi parler Suarez'' Dis-je en le fixant droit dans les yeux ''Je suis pas parfaite, je les jamais étai et je compte pas le devenir, je suis bordélique, lunatique, même dépressive mais pour sa, je vais me faire soigner quand on sortira de là, je vais tout faire pour, je suis pas la copine parfaite ni même la mère parfaite, je laisse mon fils pleurer durant de longue minutes parce-que je sais pas quoi faire, je suis pas une pro des sentiments, je les montres jamais, je suis aussi très borner, j'aime avoir raison, je suis coléreuse, nerveuse, bancal... je vais pas te mentir, tu peut largement trouver mieux, je suis pas ce qu'il y a de mieux sur le marcher'' Dis-je laissant les sentiments me prendre comme un soir de cuite ''Je sais pas ce qui m'arrive, je réalise tellement de chose... je réalise la chance que j'ai de... de pouvoir encore avoir des sentiments pour quelqu'un! C'est comme si d'un coup je me remettais d'une cuite qui aurait durant deux ans... et je nous vois danser tous les deux sur du Rub a Dub et toi tu me glisse des mots dans l'oreille, je nous vois, nager, courir, sortir, marcher, boire et partir sans payer, je nous vois faire l'amour sous les fenêtres, je nous vois avancer ensemble... alors... je sais pas ce que sa donnera nous deux, je sais pas où tout sa nous mènera parce que Berlin est toujours là, mais toi aussi maintenant tu est là'' Dis-je en touchant ma poitrine comme si c'était une preuve d'amour ''Je t'aime Suarez, alors c'est peut-être un peut brutale mais... on a plus qu'une vie et je veux pas la finir seule''

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Je me suis inspirer de la fameuse musique Rub à Dub de Fauve pour ce chapitre ! J'espère qu'il vous aura plus
La grosse bise😘

Le casse du siécle -Parti 2-Where stories live. Discover now