-250- Le prix du plus gros connard

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Lorsque j'entrais dans la banque, tous le monde me regarda attendant une réaction peut-être faible, mais je ne voulais plus l'être durant un petit moment, je pleurer Delhi lorsque nous serrions dehors, pas avant.

''Bien, Rio est-ce que tu est prêt?'' Lui demandais-je ne allumant ma cigarette

''Ouais... Ouais je pense'' Me répondit-il en regardant Stockholm

''Alors allons y'' Dis-je en avançant dans la banque '' On vas installer la caméra ici'' Dis-je en ouvrant les bras dans le hall ''Pleine vue dans le feu de l'action, c'est parfait''

Aussitôt dis, aussitôt fait, nous n'avions pas beaucoup de temps avant de lancer la tempête Rio! Nous devions filmer Rio le plus vite possible afin de ne laisser aucun répits à la police.
Helsinki était en train de cadrer le visage de Rio tandis que nous nous mettions tous derrière la caméra, nous voulions montrez à Rioque nous étions tous là pour lui, une famille  soudée, de nouveau soudée.

''C'est quand tu veux Rio'' Lui dit Helsinki

Il pris une grande inspiration avant de hocher la tête, Helsinki pressa alors le bouton de l'enregistrement et Rio ce mis à parler, son visage c'était comme décomposer fasse à l'objectif, ce qui m'avais légèrement fait mal au cœur.

''Je m'appelle Rio, je suis l'un des membres des Dalí et j'ai était arrêter illégalement le vingt-et-un Janvier dernier par la police Panaméenne'' Dit-il avant de reprendre une grande inspiration''Ensuite j'ai pris un vol secret défense avec un colonel du centrenational de renseignement, Alfonso Prieto, nous avons atterrie quelque part dans le Maghreb, là bas on ma torturer jusqu'au quatre Avril, j'étais enfermer dans une cellule si exigus que je ne pouvez me tenir quand position debout, ils me laisser me pisser et me chier dessus, je rester des jours comme sa''

J'échangeai un regard avec Kopatchi qui connaissait sûrement le calvaire qu'avais vécu Rio, du moins qu'il devait en connaître une bonne parti et il ne sembler pas fier du tout, il avait détourner son regard, dégoutter fasse à sa propre lâcheté peut-être ou tout simplement pas encore près à entendre la vérité sur le métier qu'il croyez être le meilleur pour lui et pour la planète terre.
Rio quand à lui garder au fond de ses yeux des larmes.

''Il mon laisser croupir dans ma propre merde, une nuit'' Dit-il difficilement ''Ils m'ont sorti de ma cellule, ils mon emmener dans le dessert et ils mon obliger à creuser ma propre tombe, ensuite ils mon mis dans un cercueil et ils mon enterré vivant, jusqu'à ce que je perde connaissance persuader que j'étais en train de mourir''

Helsinki appuya sur le bouton de la caméra, voilà nous avions notre bombe atomique, nous détruisions le peut de bonne image qui rester autour de la police, Rio pris alors la caméra et fit son métier de hacker pour envoyer le tout au base de donner du professeur, quelques minutes après cette enregistrement la vidéo faisait le tour de. l'Espagne, les télévision, les radio, même le New York Times avait partager la vidéo, ils étaient dans la merde jusqu'au cous.
La vie avait quelques peut repris son cours... du moins pour quelques temps, tous le monde était reparti a son travaille sauf Séoul, qui avait était dispenser, elle était jeune, elle n'avais pas a subir la torture mental de garder ses émotions au chaud le temps que tout soit fini.

''Bien'' Dis-je en entrant dans la bibliothèque ''Je sais que vous avait adorer ses dernière vingt-quatre heures, j'en suis persuader puisque j'ai pris une balle, puisque vous avait tous faillis vous évader et j'en passe'' Dis-je avec un sourire ''Mais, toute chose étant que je suis désormais de retour et disons que j'ai une certaine rage en ce moment, car comme vous les avait Delhi est mort, Delhi était mon petit frère donc je vais être sur les nerfs durant quelques jours'' Dis-je toujours en leurs faisant un grand sourire ''Alors je vais être clair avec vous, le premier qui ne m'écoute pas, ce prend une balle dans la jambe et sera enfermer seul dans une pièce les pieds et les mains lier, c'est clair?''

Le casse du siécle -Parti 2-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant