Chapitre 10 : BOO... C'EST MOI!!!

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- Première version -

New York, Vendredi 12 Avril 2006. Middle School of NY.

9h57.

DRIIIIINGGG !!!!

La sonnerie du collège retentit.

- OP OP OP ! s'exclama Monsieur Morton, professeur de mathématiques. Je voudrais vous dire qu'avant de partir je veux que vous me fassiez l'exercice 43 et 45 du manuel de mathématiques.

D'accord monsieur, c'est beaucoup trop, et moi qui pensais qu'on aurait enfin la paix !!! On marmonnait certains élèves.”

- Allons, on ne se plaint je vous ai mis le strict minimum, vous pouvez y aller !
Les élèves se dissipèrent tous un par un en quelques secondes.
Elise qui faisait partie de cette classe, alla rejoindre ses meilleurs amis qui se trouvaient dans la cour. Elle n'était pas vraiment à l'aise de recroiser comme de par hasard Billy, elle ne s'en était pas vraiment remise depuis ce qui s'était passé lors de la sixième. Mais elle est en quatrième désormais, elle prit sur elle même, et laissa les monstres du passé derrière elle.
Arrivé dans le préau, elle marcha jusqu'au portail de la cour avec un air de confiance. Elle marcha tout en regardant autour d'elle, au premier abord elle ne les voyait pas, lorsqu'elle entendit une voix forte et aiguë, c'est comme si qu'il venait de tout les côtés à la fois.
- Qui m'appelle ! s'exclama t'elle de surprise.
Elle essaya de distinguer, de suivre la voix, à qui pourrait appartenir cette voix. Elle regarda derrière elle et, mystérieusement tout le monde, tout les élèves et professeurs ont disparus d'un coup. Tout le monde ?
Elise n'en croyait pas ses yeux. La cour était rempli d'un silence insalubre, plus aucun signe de vie mis apart elle même.
- Héooo ! s'écria Elise. Elle regarda tout autour elle. Mais personne plus aucun élève à l'horizon. Même pas une présence humaine à l'extérieur du collège. Comme si que le monde s'était arrêté, ou que tout le monde avait disparu, que le monde était au crise post-apocalyptique. Comme si que le monde tout entier allait s'éteindre. Ce sont ils tous enfui.
- Il y a quelqu'un ! s'écria Elise en pleine panique. La seule réponse qu'elle pu recevoir était son propre éco d'elle même et le ciel, se transformer drastiquement en un ciel grisaille, en un temps pluvieux. Elise se mit alors à courir jusqu'au préau, afin d'éviter dans les pires des cas d'être trempé par la pluie. Arrivant dans le préau et refermant le portail derrière elle. Elle regarda de nouveau de chaque côté, haletant comme si qu'elle avait courut un marathon de 100 kilomètres, elle ressentie un très gros sentiment de vide ; d'une très forte solitude ambiante. Comme si, que l'établissement avait été abandonnée depuis 3 ans, même si tout était encore en bonne état.



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Elle avala de nouveau sa salive et inspira profondément avant d'expirer. Elle regarda de nouveau autour d'elle, le silence qui encombrait tout le collège lui donner des frissons, ses poils ont commencé à hérissé, ce qui provoquèrent chez ces yeux des coulés de larmes. Mais cette fois-ci elle ne sentait plus ce sentiment de solitude au sein du collège, mais un très profond sentiment de voyeurisme. Elle se sentait observer... Comme si qu'il restait une présence d'humanité, mais cette présence lui faisait réellement peur. Elle se mit à trembler d'angoisse, les nuages se faisait de plus en plus gris au fur et à mesure.
Elle décida donc de pousser un énorme cri, au cas où si une personne, si un reste d'humain pourrais s'y trouvait.
- À l'aide ! s'écria Elise de toute ses forces. Au secours, est-ce qu'il y une personne ici... Jessica, Samantha, Zoey, Abby, Peter... Monsieur Muller, reprit-elle à voix basse.

Elle entendit un bruit, un bruit provenant du collège, un bruit... Métallique, exactement le même bruit métallique quelle avait entendu depuis sa sixième du collège.
- Est-ce que... Quelqu'un est là ? s'écria t'elle de nouveau.
Un bruit retentit dans les toilettes des filles, un bruit métallique en continu. Comme si qu'il était en train de longé l'objet qui faisait sortir un bruit strident, désagréable à entendre aux oreilles, un bruit perçant qui agace les tympans d'Elise qui se les boucha. Lorsque le bruit s'est arrêté la porte des toilettes des filles s'ouvrit d'un centimètre, Elise fixa attentivement la porte s'approcha petit à petit avant qu'elle ne s'ouvre violemment, assez violemment pour qu'elle en sursaute et tombe à plein ventre.
Elle se releva de justesse, le sac derrière son dos, l'enleva et l'ouvrit pour prendre à l'intérieur une lampe de poche noir.

Le Challenge # TOME UN : [ EN COURS ]Where stories live. Discover now