𝐃𝐄𝐋𝐈𝐆𝐇𝐓𝐒 𝐀𝐍𝐃 𝐃𝐑𝐈𝐅𝐓𝐒 - 𝘾𝙝𝙖𝙧𝙡𝙚𝙨 𝙇𝙚𝙘𝙡𝙚𝙧𝙘

𝐯𝐢𝐢. 𝐜𝐡𝐚𝐩𝐭𝐞𝐫 𝐬𝐞𝐯𝐞𝐧

𝗩𝗼𝘁𝗲 𝗺𝗼𝗻 𝗵𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗶𝗿𝗲
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𝗤𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝘁𝗮𝗿𝗱

Sophie devient de plus en plus difficile à gérer. Sa jalousie envers moi est vraiment intense... Alors que je descends les escaliers pour me rendre à la cuisine, je heurte accidentellement Sophie.

- Bordel ! TU NE PEUX PAS REGARDER DEVANT TOI !

Je baisse la tête, habituée à ses cris. Je réalise que je ne peux plus tolérer un tel traitement. Je relève doucement la tête, cherchant le courage de lui faire face.

- Sophie, je comprends que tu sois frustrée, mais je ne peux pas accepter d'être constamment agressée de cette manière. Nous devons trouver une meilleure façon de communiquer et de résoudre nos problèmes.

Sophie me regarde avec mépris.

- Oh, maintenant tu veux jouer les victimes ? Tu n'as aucune idée de ce que je ressens ! Tu prends tout pour acquis !

- Je ne prétends pas être une victime, Sophie-

- Bien sûr que si !

On ne peut même pas parler tranquillement avec elle.

- Je...

Je ressens un mélange de stupeur et de douleur lorsque Sophie, submergée par sa colère, me jette du café chaud. Les gouttes brûlantes s'éparpillent sur ma peau, mais je reste immobile, essayant de garder mon calme malgré la douleur physique et émotionnelle.

C'est la troisième fois qu'elle me balance du café de cette manière, la douleur est moins intense qu'auparavant, j'ai fini par m'habituer...

- Oh, alors maintenant tu veux jouer les offensées, c'est ça ? Tu sais quoi ? Tu n'es qu'une faible.

J'essuie le café sur mon visage.

- Tu ferais mieux de te taire la prochaine fois, n'oublie pas que je suis ta supérieure.

Je prends une profonde inspiration, essayant de garder mon calme malgré la provocation.

- Sophie, peu importe notre relation professionnelle, personne ne mérite d'être traité de cette manière. Je t'en prie, trouvons un moyen de travailler ensemble sans animosité.

Je ressens une profonde tristesse et une grande frustration face à la répétition de cette violence de la part de Sophie. Son comportement abusif et sa tentative de me rabaisser continuellement ont créé un sentiment d'infériorité et de désespoir en moi.

Alors que Sophie s'éloigne en me bousculant, son rire cruel résonne dans mes oreilles. Je me sens complètement impuissante et vulnérable.

Cependant, au milieu de cette obscurité, une lueur de détermination commence à briller en moi. Je refuse de me laisser écraser et de continuer à subir cette situation.

Je relève lentement la tête, mes yeux remplis de détermination.

- Ça suffit, Sophie. Je ne peux plus tolérer cette violence et cet abus de pouvoir. Je suis plus forte que tu ne le crois, et je mérite d'être traitée avec respect.

Ma voix tremble légèrement, mais je fais de mon mieux pour rester calme et affirmée. Sophie s'arrête et se retourne, un mélange d'irritation et de surprise sur son visage.