Le Sonnet du monde mondain

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Dans les serres acérées des industries
Du monde moderne,
Proches de certaines scènes
Obscènes que je mime, je suis celui de qui on rit.

Sous l'emprise de la haine mondaine,
J'ai ignoré tout, même des reines,
Des êtres obélisques telles des baleines 
Qui pensent être les limites de l'arène.

La fin de l'histoire approche toujours, chaque jour
Comme si demain était la fin de tous les tours.
Je sais que là, j'ai très peu d'humour.

Que chacun écrive ce qu'il souhaite
Pour se plaire lorsqu'il fait la fête !
Chaque jour, dans la souffrance, naissent des êtres.

L'illusion Du Vécu : Quand La Vérité Devient Triste.Where stories live. Discover now