La tristesse du vice

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Le vice est devenu le quotidien
Des gens qui rarement se fient
Pour ne pas se méfier.
Le vice guide ceux qui jamais ne rient
Ou toujours sourient ou rient.
Le goût fade de la déception alimente les journées sombres et noires
Dans lesquelles on perd du poids.
On affronte le froid
Tout en gardant un peu d'espoir.
La vie en elle même est une grande frayeur
Qui comme une apparence s'avère être un leurre.
La candeur de l'homme est indubitable,
Tel un sablier
Qui doucement coule
Comme pour nous dire que tout coule.
C'est peut être discutable
Mais ne faut pas l'oublier
Que les hommes se saoulent
Parfois pour mieux penser
Et ne pas oublier qu'ils sont faibles.
Moi, à lire les fables fabuleuses,
Je me rendis compte que la vie est une éboueuse
Qui fera appel à la grande faucheuse
Même si on ne part pas tous de fièvre aphteuse.

L'illusion Du Vécu : Quand La Vérité Devient Triste.Where stories live. Discover now