3. Retour

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Lorsque j'avais croisé ce type au grand jamais je ne pensais à le revoir. Dans la pénombre, je pouvais apercevoir ses bras tatouer. Des bagues ornent ses doigts. Un bracelet en or massif pendait.

- je me demande à qui cela peut bien appartenir.

Je touchais mon poignet et remarquai que je n'avais pas le mien.

Il me la prit !

Je le lui arrachai des mains, son contact me donna des frissons.

Il me regarda s'amusant de la situation. Vikia ne comprenait rien.

- tu veux bien me dire comment tu connais zay me demanda t'elle perplexe.

Je devais lui dire quoi ?

Ha oui, euh, en fait, je me suis disputé avec la patronne d'une brasserie. Ce type m'a vue faire quelque chose de très gamin et m'a fait une remarque.

Super....

Je les remballer vite fait et ensuite, il m'a fait un putain de sourire en coin.

Oui ce sourire qui fait craquer toutes les filles.

Je suis nignaise non.

- pour toi zay , mais elle, c'est monsieur Leroy dit t'il en mordant sa lèvre.

Putain arrête de le regarder comme si t'allais le dévorer Ava.

- je te demande pardon, tu te prends pour qui ? Lui assénais je.

- moi , je pense que tu ne sais pas à qui tu as à faire ma petite.

À cette réflexion, il s'approcha de moi. De plus en plus, jusqu'à me plaquer contre le meuble. Il me terrifiait. Son regard avait changé, il était devenu plus sombre.

Le monstre.....

-zay arrête, pas elle. Ava n'a rien avoir. S'il te plais épargne là.

Hein épargner qui... Moi

J'essayais de me dégager de son emprise, mais il m'aggripais si fort les mains qu'il me fessait mal.

Lorsqu'il relâcha sa poigne, je me mis à me masser les poignets.

Aie

- si tu savais comme j'ai envie de te foutre une balle entre les deux yeux depuis que je t'ai vue me chuchote t'il en léchant mon cou.

C'est qui ce fou.....

Mais son contact me donna des frissons et j'humectais mes lèvres. Je ne sais pas si c'était de peur ou d'envie.

Je suis maso ou quoi !

- dégage réussissais je à dire avant que ce type me mord l'oreille si fort que je me mis à le supplier d'arrêter.

- arghhhhh tu me fais mal arrêter, je t'en supplie.

- sache ma petite que tu me supplieras, mais pas ce genre de chose. Sur ceux, je te laisse. Surtout fais gaffe, car lorsque le loup rentre dans la bergerie, il est très compliqué pour ce loup d'y sortir et donc aux jolies chèvres d'y échapper.

Vikia était resté sans rien dire. Au moment de partir, il lui dit quelque chose. Mais j'étais encore choqué des propos qu'il m'avait faite, quelques instants avant.

Je récapitule une fille me propose de loger dans son appartement avec son cousin bizarre qui n'est pas là. Ensuite, deux gars rentrent et nous menacent.

Un type rentre à son tour et me plaque contre un meuble et me dit explicite, je veux te tuer et te sauter.

Je suis avec des détraqués.

-vikia tu vas m'expliquer tout de suite qui est ce type ?

- toi aussi, tu le connais d'où ?

Je lui expliquais donc notre petite rencontre.

- bon ce que je vais te dire vas certainement te choquer, mais je te jure qu'il ne faut pas.

-vikia après ce qui vient de se passer, je pense que si tu me dit que ce n'est pas un tueur je ne te croirais pas.

- nan en fait c'est pire que ça c'est le plus grand mafieux des état unis . Ta jamais entendus parler de monsieur Leroi.

Bah non

- je ne crois pas sinon j'aurais su dès le début qu'il y était.

- je pense que je devrais dire « le bruleur ».

Stop... C'est pas vrai.

Ce nom ne m'a, plus jamai, été prononcé depuis très longtemps. Ce genre de personnes est à éviter à tout prix.

Dans mon quartier, il venait très rarement, mais lorsqu'il était de passage tout émonde se cacher. Les gens ne traînaient plus dans les rues. Les rues étaient désertes.

Une fois, il est entré dans la boutique de mes parents. Il a demandé à voir Sanchoz.

J'étais encore q une gamine. Lorsqu'il est revenu, cet homme m'a dit de m'approcher.

- tu pourras dire merci à tes parents.

Et il partit, mais juste avant il sortit de sa poche une lame chaude. Il me prit le bras et me brula avec.

C'était sa marque de fabrique.

Une fois sortis, mes parents vinrent vers moi. Ils paraissaient dépiter.

Un bleue se formait au coin de l'oeil de Sanchez et il boitait légerement.

Leroi était un mafieux dangereux. Lui et ces gangsters étaient à la conquête d'un empire illicite qui ont marqué l'histoire par leurs crimes impitoyables et leur fortune incommensurable.

Ceci était question de jeux, de trafic d'alcool. Les de boîtes de nuit était tout le temps remplies de femmes battues et d'autres se fessait violée.

- mon cousin ash travaille pour lui. Il me connais depuis toujours. Je te jure qu'il n'est pas vraiment comme tu le penses.

Je ne pouvais pas la croire. Il m'avait marqué avec sa lame.

Il avait pris tout l'argent de notre boutique.

- je pense que c'était une mauvaise idée de venir ici ? Je pense que je vais te laisser. Je suis désoler.


- non, je t'en supplie. C'est moi, je suis désolé.

- je dois partir, je ne peux pas.

- non pourquoi ?

J'avais oublié à quoi il ressemblait. Mais comment j'ai pu oublier.

Je suis trop conne.

- regarde ce qu'il m'a fait lorsque j'étais gosse.

Je lui montrais sa marque.

- ava tu sais ce que cela veut dire .

Hein.....

- non quoi ? Disais je en la regardant dans les yeux.

-cela veut dire que tu lui appartiens.

Hey!

zay le colérique est de retour ! Et c'était très...violent.

Mais le mauvais côté des choses, elle a perdu son logement , non ?...

A très bientôt pour le prochain chapitre!

📸J



Dans le châteaux de mon ravisseurWhere stories live. Discover now