« Ce n'est pas juste le sentiment d'interdit qui m'attire, c'est la personne qu'il est »
Tomoé Kimura, élève de Terminal à l'école d'exorcisme de Tokyo est aveuglé par l'amour, celui qu'elle porte à son professeur Satoru Gojo.
Top 1 #gojo satoru le...
Incapable de réfléchir, je ne mettais pas rendus compte qu'il c'était encore plus approché de moi, nos regards ne se lâchaient pas, sombrant de plus en plus dans ce bleue intense. Le temps s'était arrêté, figé dans l'espace.
Nos visage se rapprochait jusqu'à que je puisse sentir sous souffle légers et chaud sur ma peau, sur ma bouche, sur mes lèvres. Qu'est ce qui se passait ? Je ne comprenais rien. Nos doigts s'entrelaçaient, là, à plat, sur ce banc de pierre...Je tremblais à cause de l'inconnue, mes joues rougissaient pendant que mon regard descendait pour observer ses lèvres. Et nos lèvres....nos lèvres se se frôlaient puis elle se touchaient dans un mouvement si fluide, si spontanée. Satoru Gojo m'embrassait et comme je le pensais il avait un goût sucré, mais aussi un goût d'interdit.
La chaleur montait en moi, l'excitation de l'avoir enfin pour moi après 3 longues années d'attente. Prit d'assurance, je posait ma main sur sa joue pendant que nos lèvres se faisaient plus impatiente, en y mettant plus de pression. Personne, aucun d'entre nous ne prenaient la peine de sortir un mot, je vivais le présent, l'instanté.
La main libre de Satoru se glissait dans mon dos, sur mes côtes, dans le creux de mes reins, sur mon bas ventre, entre mes cuisses. Chaque mouvement procuraient en moi des feux d'artifice sur le point d'exploser.
Après de longue minutes de baiser, sa langue vient me chercher, me découvrir, rendant la chose plus érogène. Sa m'exciter et je savais que lui aussi, nos respirations et nos geste ne pouvaient dire le contraire, sa main caressait mon entre cuisse, avec plus de désir.
_Attend... Dit le professeur en arrêtant le baiser. Mettons-nous plutôt comme ça. Le ton de sa voix était si basse, comme si il avait honte.
Il m'attrapait le poignet pour que je me lève du banc et je me laissais faire. Il posait ses fesses sur le sol et faisait signe pour que je vienne entre ses jambes, dos contre son torse. Je ne voyais plus son beau regard.
_Comme ça.
_Parfait.
Il déboutonnait la veste qu'il m'avait prête quelque instant plus tôt dans la retirer, faisant de même avec ma chemise, ma peau désormais à l'air libre, mon soutient gorge noir à dentelle à vue. Le vent caressait ma peau avant que la main de mon professeur prenait le relais, découvrant ma peau, la réchauffant de son toucher, sa bouche embrassant le creux de mon cou. Je respirait tellement fort, comment cela pouvait-il vraiment arrivé.
Sa main descendait le long de mon ventre, retirant le bouton de mon jean, passant sous mon jean, juste au dessus de ma culotte noire, dans un légers sursaut de surprise. Il me caressait, faisant des mouvement circulaire sur mon clitoris, des sons commençait à sortir de ma bouche pendant qu'il suçotait la peau.
_Hm.. hm
Mes mains se posaient naturellement sur ses jambes pour me tenir à quelque sort et le serrais. Les mouvements se faisait plus rapide et je devenais de plus en plus humide.
_Satoru .... Soufflais je.
_Oui, Tomoé, Dit-il en lâchant ma peau.
_Hm... Et bien ... Est ce que l'on ... pourrait ...
_Chht, dit pas un mot de plus.
Ses doigts passèrent le tissus de mon sous vêtements touchant ma partie la plus intime, ses doigts se glissèrent en moi, avec facilité pendant que je lâchais un gémissement. Je serrais avec plus de hargne ses cuisses muscle pendant qu'il effectuait des mouvements de vas et viens, me léchant mon lobe d'oreille, je me laissais faire, laissant ces mains expertes faire ce qu'elles voulaient, savourant cette instant lubrique. Sur le moment j'avais tenter de remonter ma main le long de sa jambe mais il la retirait pour la remettre à sa place initiale, je voyait, il ne voulait pas que je le touche, il ne voulait s'occuper que de moi.
Ses mouvements se faisait plus profond, plus rapidement, ma respiration était saccadé, je perdais le contrôle de moi-même. Je sentais montait le point de non-retour.
_Ah.... Ah...
À l'entente de mes gémissements, ses doigts quittaient subitement mon entrejambe, d'accord frustrée, il me retourne pour me mettre face à lui, assisse sur ses jambes, je le sentais tellement dure. Il me levait le bassin, passant ses mains sur la fermeture éclair de sa braguette, le son qui indiquait qu'il la descendait, passant une main dans sous vêtement et y faire sortir son sexe. Il me lançait un regard et nous nous comprenons. Je baissais mon bassin et il entrait en moi, sentant sa présence dans mon bas-ventre, c'était fait, nous ne pourrons jamais retourner en arrière. Il ne voyait en moi plus une simple élève mais une femme.
Je touchais ses joues, nos lèvres se rencontraient à nouveau et il bougeait son bassin, bougeant en moi, gémissant également lui aussi à son tour. C'était si bon, si délectant. Je ne pourrais jamais être aussi proche de lui, l'homme que j'étais tombé amoureuse, qu'aujourd'hui. Les coups de reins accélérait au fure et mesure des minutes, je sentais de nouveau mon orgasme arrivé, je l'aidais dans ses mouvement, ses mains sur mes hanches pour m'accompagner.
_Ah...ah ... Hm !!
Puis le feu d'artifice explosait, tremblant sur lui, mon ventre qui se contractait de plaisir, ma respiration étouffante, la transpiration qui coulait le long de ma poitrine. Mais pas le temps de reprendre mon souffle que je continuais les vas et viens jusqu'à que à son tour, il explosait en moi avec un gémissement rauque.
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