Chapitre 14 : Le clan Kimura

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|2 semaines après le scellements de Satoru Gojo|

La perte d'une partie de moi avait chamboulé mon existence.

La perte de ma jambe a marqué un tournant poignant dans mon parcours, ma vie. Mon corps, autrefois intact, porte désormais les stigmates de l'adversité, témoignant de sacrifices profonds consentis dans la lutte contre les forces obscures. Malgré cette épreuve physique, j' incarne une détermination inébranlable.
Mais parfois, la détermination ne suffisait pas à franchir tout les obstacles et les problèmes.
S'il y a bien eu des personnes pour profitez du fait que Satoru Gojo soit scellés, se sont bien les personne qui siéger au conseil de l'exorcisme.
Ces vieux fou, me convoqua quelques jours seulement après notre humiliation, notre défaite, je m'étais tenu face à eux, en béquille, loin de la fille que j'étais il y a peu de temps.
Je pénétrais dans une salle ovale empreinte de solennité. Les sièges s'étendaient tout autour de façon circulaire, évoquant un spectacle imposant de détermination collective. En face de l'entrée, se dressaient cinq grands fauteuils, réservés aux figures éminentes du conseil. Chacun de ces sièges imposants portait le poids de la responsabilité, symbolisant l'autorité cruciale dans la lutte contre les forces obscures.

Ils étaient la, ils me regardaient tous avec une profondes haines et je tenais tant bien que mal.

_Tomoe Kimura, nous t'avons convoqué pour déterminé si tu as encore ta place, au seins de l'école d'exorcisme. Parmi les siégé, la personne qui se trouvais au centre avait ouvert la conversation.

_Ma place ? J'ai déjà ma place dans ce monde, je suis forte et je suis d'une vrai utilité pour l'occultisme. Argumentais-je. Seule face à tous.

_Tu étais.

_Comment ça ?

_Tu étais forte, désormais tu es mutilé, tu ne peux plus servir notre cause et surtout ton insubordination lors du drame de Shibuya, ne va pas dans ton sens. Argumentait, lui aussi.

_Vous profitez juste de la mise hors service de Satoru... Vous n'auriez rien tenté s'il était encore là. Je les regardais, plantant mon regard noir sur yeux. Des blessures, sa ce soigne et j'ai agis en pensant débloqué la situation, c'est facile pour vous de cracher votre venin, vous n'y étiez pas ! On a vu des gens mourir devant nous ! Vous... à part avoir votre cul assis gentiment, qu'est-ce que vous faisiez ? Terminais-je de sortir ma colère sur eux.

« Paf ! »

Le poing du conseiller en chef frappaient l'accoudoir de son fauteuil massif. Sa haine pour moi était évidente, il se levait.
_Tomoé Kimura, voici notre verdict. Tout comme ton clan, nous te bannissons du monde de l'exorcisme. Toute activité sur Tokyo et les grande ville seront motif d'une exécution à mort.
Tu as quelque heures avant de reprendre tes affaires au sein de l'école parce que sinon la barrière ne te laissera plus entrer.
Criait-il.

Avant qu'un groupe m'escortais dehors.

Mon seul tord étais d'appartenir au clan Kimura.

Banni de l'école par le conseil de l'exorcisme, je pénètre dans ma chambre, le poids de la tristesse pesant sur mes épaules. Chaque objet que je saisis pour le ranger semble porter le souvenir de jours plus légers, de moments partagés avec mes camarades désormais lointains. Les murs qui ont été témoins de mes succès et de mes défis deviennent silencieux, réfléchissant la solitude qui s'installe. Alors que je plie soigneusement mes affaires, j'essaie d'apaiser le tumulte émotionnel qui anime cette pièce, mais chaque mouvement résonne comme un écho de ce qui a été perdu. Dans cet espace jadis familier, la réalité du bannissement s'installe, laissant place à un sentiment poignant de déracinement et d'incertitude quant à ce que l'avenir pourrait réserver.

_Tu dois vraiment partir ? S'étonnait Megumi lorsque que je quittais ma chambre avec mes valises sur une chaise roulante.

_Oui, mais je reviendrais vous voir, même si je ne peux plus pratiquer... Les larmes commençait à monter en moi, pleurer devant un camarade, une première, mais les événement était tellement difficile pour moi

C'est le cœur lourd que je quittais l'enceinte de l'école et je me retrouver le seul endroit où je pouvais être désormais, l'endroit que je détestais pourtant, le domaine du clan Kimura, à plusieurs heures de la capitale japonaise.

Me rendant au domaine que je n'avais jamais vraiment apprécié, le domaine Kimura s'étendait devant moi, inscrit dans la sérénité de la campagne japonaise. Les cerisiers en fleurs bordaient l'allée menant à la résidence principale, répandant une délicate fragrance dans l'air. Les jardins soigneusement entretenus étaient un tableau vivant de couleurs vives, contrastant avec les nuances apaisantes du vert environnant. Les traditions familiales semblaient inscrites dans chaque pierre du jardin zen, rappelant un héritage que je peinais à accepter. Les montagnes environnantes encadraient le domaine, leur silhouette majestueuse conférant une atmosphère de mystère et d'ancienneté à cet endroit que je considérais à contrecœur comme "chez moi". Malgré mes sentiments mitigés, il était impossible de nier la beauté intemporelle de ce domaine familial, où le passé et le présent se mêlaient dans un équilibre délicat.

C'est le chef de clan, qui m'accueillais, d'un ton lugubre, pas la moindre satisfaction de me revoir, mon grand-père.

_Content de te revoir à la maison, Tomoé, j'ai du vent de ton bannissement. Dit-il, sa canne dans ses mains poser devant lui. Tu as échoués désormais tu va devoir tenir les engagements de la famille, comme tu l'avais promis en quittant le domaine.

Les devoirs de la famille... Il me fallait un miracle désormais pour me sortir de là.



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Gojo Satoru : L'InterditDove le storie prendono vita. Scoprilo ora