le malfaiteur qui a chamboulé ma vie

Chapitre 10 je veux tout savoir

Trois jours se sont écoulés, Bong restait à coté de Jung-You il ne le quittait pas d'une semelle, un vrai pot de colle, et quand je rentrais dans la chambre il restait debout il ne me laisser presque pas toucher deux mots successifs.

 Il le guettait plus qu'un garde du corps, Jung-You allait beaucoup mieux il arrivait à se lever tout seul et bougeait dans la chambre ou faisait quelques pas dans le couloir, oncle Jaque était aux ange pour lui c'était l'affaire de sa vie, il n'a jamais au temps gagné d'argent, et moi j'étais heureuse et triste à la fois;

 Le fait de voir Jung-You chaque jour était une bénédiction, mais ne pas pouvoir lui parler me faisait souffrir.

Au bout du quatrième jour quand j'allais à la cuisine pour préparer le petit déjeuner, j'ai entendu du bruit dans la chambre de Jung-You, je me suis arrêtée pour frapper à la porte quand la porte s'est ouverte subitement je me suis retrouvée face à face avec Jung-You.

Jung-You : bonjour !!! (Avec un sourire) je veux prendre mon petit déjeuner dans la salle à mangé j'en ai marre de rester cloîtré dans la chambre.

- Bonjour, Bong n'est pas la ??????

Jung-You : non il a des trucs à faire à Paris, il va être absent toute la journée.

J'ai souris : ouf, bon débarrât, comme il m'enmmerde (j'ai mis ma main sur ma bouche), désolée je ne voulais pas .......

Il a éclaté de rire : non ce n'est pas grave, je sais très bien qu'il est trop protecteur envers moi, il travaille pour ma famille depuis plus de trente ans.

Nous avons descendu les escaliers ensemble : je vois que tu vas beaucoup mieux !!

Jung-You : oui je n'ai presque plus mal.

- Allez vous installer dans la terrasse, c'est encore mieux que la salle à mangé, il y a la foret comme perspective je vous ramène votre petit dej là-bas.

Jung –You : merci !!

J'ai préparé le plateau et je lui ai emmené, il était assis la tout droit il y avait une petite brise qui fessait bougeait ses cheveux comme si elle les caressait, il semblait être inquiet distrait, il avait le regard perdu, quand j'ai mis le plateau sur la table il m'a regardé dans les yeux ;

Jung-You : au merci, j'ai une fin de loup !!! Assis toi on mange ensemble.

Je suis allée ramener un bol pour moi, toute contente comme si j'avais gagné le jackpot.

Jung-You : j'adore le beurre français, le gout du sel le rend très spécial !

J'ai souri: alors je te fais une tartine, tu n'arrives toujours pas à bouger ton bras droit ?

Jung-You : le médecin qui m'a enlevé les balles m'a certifié que les tendons n'ont pas été atteints, et qu'il me faut de la rééducation,des que je rentre en Amérique je la ferai.

J'ai senti un pincement dans le cœur, il allait repartir !C'est normal il n'allait pas rester éternellement ici, et le fait de ne plus jamais le revoir m'a donné un gout amer.

Je lui ai demandé : quand est ce que vous contez repartir ?

Jung-You : j'en ai encore pour quelques temps, j'ai des trucs à régler à Paris.

Il avait vu que j'avais des centaines de questions à lui demander mais je n'osais pas.

Jung-You a souri : qu'est ce que tu veux savoir ? je te répondrai en toute honnêteté.

J'étais sur le point de lui demandé qui lui avait tiré dessus quand oncle Jaque nous a fait honneur de sa présence : bonjour mes chers enfants !!!

- Ah non oncle Jaque !!! ( je l'ai dit avec un air furieux et j'ai mis ma tasse de café sèchement sur la table)

Oncle Jaque nous a regardé étonné, il n'a rien compris : quoi qu'est ce que j'ai fait?

Jung-You a éclaté de rire, ses dents étaient magnifiques : non rien elle plaisante !!!

Il m'a regardé avec tendresse qui a faillit me faire fondre et m'a chuchoté : on terminera notre discussion plus tard !!

J'ai souri quand j'ai entendu une voix qui m'a fait descendre 1000 mètre sous terre ,c'était Eric qui criait dans le hall de l'hôtel : Rose , Rose oû es tu ?