Le choix d'une vie.

Chapitre 33...

* PDV de Vladimir * 

- AAAAAHHHH !!!!!

Je souris sadiquement à l'entente de ce son bizarrement cette douce mélodie m'avait inexorablement manqué. Quel chant merveilleux...

- Ne souris pas comme ça mon ami ou je vais croire que toute cette vie te manque.
- Cela me manque c'est vrai surtout quand je sais de qui viennent ces cris mais comparé à ma vie je ne regrette pas.
- Sadique hein ??
- Peut être un peu sur les bords.

On entre dans la pièce quand un de ces hommes en sort, j'ai du quitter ce cocon familiale ce matin après avoir emmener mes enfants à l'école pour la première fois. Une grande première dans ma vie de père mais je suis réellement heureux d'avoir vécu ça. Mais il fallait que je rentre pour le travail mais aussi pour aller voir ce salop qui est entre les mains de mon ami depuis que je lui ai remis. Accroché par les mains au plafond je souris encore plus quand son regard se braque dans le mien. Légèrement amoché je trouve que Dryunya y est aller doucement, cela fait pourtant plus de vingt quatre heure qu'il est là alors il pourrait être bien pire.

- Mon ami tu te fais vieux enfin il n'a que la lèvre en sang. Je suis déçu dois je te donner des cours de torture ??
- Là tu me blesse mon cher.

Tirant sur sa cigarette une dernière fois il s'approche lentement de lui, ce Simon se débat pour qu'il ne le touche pas avant que mon ami ne soulève son t-shirt pour éteindre sa cigarette sur sa peau dans un hurlement de sa part.

- Dix huit trous.
- Oui comme au golf, j'ai pas mal fumé aujourd'hui j'avoue je devrais ralentir. L'électricité ça rallume une cigarette ??

Je le regarde sans comprendre aux dernières nouvelles non mais avec lui il serait capable de me prouver le contraire.

- On va essayer.

Il enclenche un interrupteur et je peux voir cette loque se faire électrocuté par les prises de ses poignets.

- Ma dernière installation, elle pourrait me coûter cher en électricité mais j'adore que mes victimes deviennent des sapins de Noël.

Je ris quand il arrête pour voir que ça fonctionne plutôt bien et puis ça ne doit pas être agréable.

- J'attends.

Mon rire s'arrête devant la mine sérieusement de mon ami sans savoir ce qu'il veut.

- J'attends tes excuses.

Je pouffe devant cette phrase, alors la il peut toujours courir pour les avoir.

- Et puis quoi encore. Qu'est ce que tu as pu lui faire dire ??
- En soit pas grand chose il est assez résistant à la douleur, il ne sait pas se battre mais à un moral d'acier.
- On a fait craquer bien pire que lui.
- Exactement à la fin ils appellent tous leur mère en pleurant comme des fiottes.

Ça je suis bien d'accord même les plus coriace se plient à nos lois.

- Je ne dirais rien autant me tuer maintenant.
- Te tuer ?? Pourquoi faire ??
- Mort tu n'es d'aucune utilité.
- Je ne dirais pas un mot.
- Ils disent tous ça, tu parleras ne t'en fait pas pour ça.

D'un geste de tête Dryunya me demande de sortir, nous allons en discuter au calme pendant que ses hommes se chargent de lui.

- Il va parler.
- Je n'en doute pas mais j'aimerai bien qu'il parle avant qu'un drame ne se produise.

Et sans savoir pourquoi je sens qu'il va arriver plus vite que prévu.

- Ta femme et tes monstres sont en sécurité, mes hommes veillent au grain.
- Les miens aussi. Pourquoi en avoir mis alors que tu savais que je le ferais ??