Chapitre 55 🌟

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PVB DE CÉLIA

Moi* : Je sais pas trop

Idrissa* : Je ne vais pas passer par quatre chemins, Tu me plaît et je veux plus avec toi

Moi *: Une vrai relation sérieuse

Idrissa* : Oui

Moi *: Je sais pas j'ai pas confiance

Idrissa* : Tu me kiffe

Moi* : Oui mais

Idrissa *: On s'en fout du reste tant que tu m'aimes c'est le plus important

Moi *: 😳😳😳😳

Idrissa* : On sort désormais ensemble

Moi *: Ce n'est pas trop tôt, je ne connais rien de toi

Idrissa *: Je m'appelle Idrissa, j'ai 18ans , je suis à l'université dans la filière de médecine . Je suis fils unique

Moi *: Tu fais la médecine

Idrissa* : Oui

Moi* : Très bon choix de carrière

Idrissa *: Merci

1 MOIS PLUS TARD

Rien d'intéressant ses passés . Je suis en couple avec Idrissa . Je vis un compte de fée à ses côtés, il me comble de cadeaux, d'attention , d'affection, je ne m'étais jamais autant sentie heureuse de toute ma vie. Comme dit le dicton, des bonnes choses ont toujours une fin .

Je me préparais pour aller voir mon chéri comme d'habitude. Je me douche, m'habille, déjeune avec ma famille. Ensuite je prends un Uber pour aller chez lui . 

Arrivée chez lui , j'ouvre la porte et je vois des vêtements de Idrissa au sol , je les ramasse un à un jusqu'à ce que je trouve une robe au sol. Je me suis dis que c'était peux être un mal entendu, qu'il ne pourrait jamais me tromper . J'avance pas à pas vers sa chambre, j'entends des bruits venant de l'intérieur. Je prends mon courage à demain et j'ouvre la porte et là je tombe d'un million d'étages, mon conte de fées vient de tomber à l'eau . Des larmes en commencées à couler sur mes joues . Ce que je viens de voir m'a briser le cœur, Idrissa, l'homme que j'aime de toute mon être à qui j'ai tout donné, Amour, Argent, Affection me trompe de la pire des manières. Il me trompes avec ma cousine, Mariata cette connasse comment a-t-elle pu me faire ça. Je la considerai comme ma sœur. Une colère monstrueuse s'empara de moi . J'avance vers elle et la tire par les cheveux, je la  traine en bas comme la chienne qu'elle était toute à poil et la balance dans les escaliers.

Mariata *: AHHHHHH

Idrissa *: T'ES MALADE OU QUOI.

Il cout vers elle et l'aide à se relever.

Moi* : TU N'ES QU'UNE PUTE , CONNASSE , DEVERGENDER , UNE PROSTITUÉE, FILLE DE JOIE , COMMENT AS-TU PU ME FAIRE ÇA À MOI . J'ÉTAIS TOUJOURS LÀ POUR TOI ET TOI TU ME POIGNARDE DANS LE DOS SANS AUCUN REMORD

Mariata *: JE NE T'AI RIEN DEMANDE,

Moi *: TU VAS ME PAYER TRÈS CHER .

JE M'AVANCE VERS ELLE , JE LUI UN COUP DE POINT DANS LA GUEULE ENSUITE JE L'ENCHAINE COMME UNE MALADE . ELLE HURLAIT DE DOULEUR, ELLE PLEURAIT, ELLE SAIGNAIT DE PARTOUT. JE N'AVAIS PAS ENCORE FINI QUAND CET ENCULÉ ME TIRE ET M 'ÉCARTE.

CHRONIQUE DE TESNIM : Simple hasard ou le destinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant