Chapitre 6 : phrase de trop

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Midi

Sicile

Nous sommes tous rentrés chez lui , pour l'attendre au qu'à où il revienne mais depuis ce matin personne ne l'a vue et il n'a répondu a aucun appel .

Depuis ce matin je sens que mon cœur est lourd , depuis que nous sommes allée chez Giorgina.

Je le sens souffrir ...

J'ai l'impression que l'entaille qui c'est formée dedans s'ouvre tout les jours un peu plus au lieu de ce refermer.

Parfois , malheureusement le temps ne guéri pas les blessures que nous avons , certaines ne se guérissent pas , on peut apprendre a vivre avec mais on ne peut pas les oublier .

Pour l'instant mon cœur n'arrive pas à l'oublier , il se blesse seul à vouloir faire vivre quelqu'un qui n'est plus là à travers lui , mais je n'y peux rien ....

Rien du tout ...

Je souffre constamment mais je m'y suis habitué

Ou presque ...

La douleur est mon état naturel et maintenant cette sensation qui est censée être passagère dans la vie de quelqu'un et constante dans la mienne ....

Je me lève du canapé sentant que mon cœur commence a se serrer de plus en plus .

J'attrape mes lunettes et je l'ai mets avant de me diriger vers la porte .

- dove stai andando ? ( ou vas tu ? )

- mangiare . ( manger .)

Lui dis-je avant de refermer la porte derrière moi .

J'ai besoin d'oublier ... j'ai besoin de l'oublier ...

(...)

Des palettes remplis de sachets de drogues qui doivent pesaient tous au moins 5 kilo grammes rentrent dans les camions de notre cartel qui vont aller livrer notre drogue à nos clients .

En vérité je ne suis pas aller au cartel pour voir si nos exports de drogues se passent bien , j'y suis aller juste pour en récupérer vue que Maria a eu l'idée très intelligente de noyer la mienne dans l'eau du robinet .

Je me dirige dans le bureau de Tomasso et je vois ... ma femme ...

Accrocher à ce mur .

Mon cœur se serre et je me précipite vers le tiroir de son bureau pour attraper un sachet de 2 grammes .

J'attrape un papier poser sur la table et verse un peu de cette poudre blanche sur celle ci , je la sépare en faisant des lignes et j'attrape la paille qui est à côté .

Je snife la première ligne et je sens la drogue rentrer dans mon corps .

Je secoue ma tête et pince mon nez puis je refais une ligne que je prends immédiatement.

D'un coup je m'affale sur son siège en le tournant vers le tableau de l'amour de ma vie .

Pourquoi me fais tu tant souffrir ...

Je la regarde en attrapant le médaillon autour de mon cou .

Pourquoi ma vie n'est plus rien sans toi ...

J'ouvre le médaillon est regarde la photo .

Pourquoi tout me ramène à toi ...

Je referme le médaillon en l'embrassant avant de me lever avec un peu de difficultés.

Tí amo  : il n'y a plus que son âme ( Tom 1,5 ) Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora