Lorelei Kisling
La jolie brune face à moi me fixe de ses orbes bicolores à présent silencieux. Je devais me douter qu'Eddy et Crash auraient peur mais bon, j'ai de la chance, ils n'ont pas fait tout un cirque cette fois-ci, à croire qu'ils ont sentis la tensions palpables entre nous deux.
Son corps est déjà un régale pour les yeux mais en petite tenue c'est encore meilleur ! J'approche mon visage du siens pour l'embrasser avec force. Elle me rend mon baiser brutalement, mordant ma lèvre inférieure sans aucun scrupule. J'aime ça.
J'aime cette violence dans ces gestes, cette colère qu'elle transmet et qui comble la mienne. Elle et moi nous sommes pareilles et ça me fait mouiller comme une chienne en chaleur.
J'attrape soudainement ses fesses et la soulève collant son intimité trempée contre mon bassins. Je sens sa mouille à travers son jean imbibé et j'adore ça, ça m'excite toujours plus.
Je la porte jusqu'à ma chambre connaissant ma maison sur le bout des doigts et la jette sur mon lit parfaitement bien tiré. Un tantinet maniaque sur les bords me diriez-vous mais qu'importe.
Je ne m'arrête pas là et lui retire sans aucune douceur son jean et ses chaussures en passant. Sa culotte est assortie à son soutien-gorge gris. Elle se redresse et passe une main à l'arrière de ma tête pour me tirer vers son visage scellant nos lèvres ensemble. Nous sommes bestiales, pressées, affamées de l'autre.
Il n'y a plus de professeure ni d'élève, il n'y a que deux bêtes nourries d'un désir commun : l'autre.
Mes mains passent dans son dos et décrochent son soutien-gorge pour lui retirer libérant sans poitrine qui viens se frotter contre moi. Mes doigts attrapent les pointes roses et la torture en les taquinant la forçant à quitter ma bouche pour gémir.
Mes lèvres ne restent pas inactives et partent visiter sa peau commençant par son cou que j'embrasse, mordille et lèche avant de prend un pique rose dans ma bouche pour faire rouler ma langue contre.
Ses gémissements sont une mélodie à mes oreilles mais j'en veux plus, elle se retiens. Mes dents attaquent son deuxième tétons ne voulant pas faire de jaloux et ses barrière de timidité se brisent progressivement, sa voix gagne en octave et ses mains se débarrassent de mon soutien-gorge pour malmené, autant que possible, ma propre poitrine.
- Vous êtes trop habillée, grogne-t-elle entre deux gémissements plaintifs.
Elle retourne nos positions et se débarrasser de mon jean mais entraîne mon string avec. Je me retrouve nue sous son corps encore un peu vêtu. Je suis soumise et cela n'est pas envisageable. Retourne donc nos positions et l'allonge de force sous moi pour ratisser tout son corps de mes mains jusqu'a retirer sa petite culotte trempée.
Je n'ai aucun scrupule mais j'ai bon sens alors avant de m'introduire en elle avec deux de mes doigts, je lui fourre sous le nez.
- Ça passe mieux quand c'est bien humide si tu vois ce que je veux dire, murmurais-je me délectant de son visage angélique.
Elle comprend mon message et ouvre la bouche, j'y introduis donc mes doigts et sa langue roule contre ce qui me fait toujours plus mouiller, elle a le chic pour réussir à me mettre hors de moi.
Je retire mes doigts et les fait glisser sur sa fente mais découvre un petit extra, un piercing que je n'avais pas vu ni cherché à voir.
