01. Madame Kopcovina

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( Scène supprimée de Kopcovina mais il n'y a pas besoin de lire le roman pour lire cet scène. 
Ps : pour ceux qui ont lu : c'est une fin alternative )

Hécate Kopcovina

Son corps se déplace avec grâce et élégance dans sa merveilleuse combinaison rouge vive qui faisait un parfait écho à sa chevelure flamboyante qui avait bien poussée. Si bien qu'à présent, ses cheveux lui arrivaient aux seins et non plus aux épaules.

J'ai beaucoup adorer ses boucles aujourd'hui je les détestes et pour cause : sa combinaison était un merveilleux dos nu avec un sacré décolleté mais tout est caché par ces belles longueurs.

Enfin puisque c'est le bal de fin d'année, c'est bien mieux que je ne puisse pas être trop excitée par son corps même si, je l'avoue, elle est terriblement séduisante. Le plus frustrant, c'est de voir cette garce d'Emily lui tourner autour alors qu'elle était venue avec quelqu'un d'autre.

Quoi que, Nix, pour pouvoir venir car les règles stipulent que tout adolescents doit être accompagné d'un cavalier ou d'une cavalière, avait fait appel à sa satanée d'ex plan cul j'ai nommée Léa, la garce du voyage scolaire.

Alexandro s'approche doucement et viens se poser à côté de moi, un verre dans chaque mains.

— Mademoiselle Hécate Kopcovina puis-je vous proposer un humble verre de coca cola ? me propose-t-il en me tendant les deux verres.

Il sait que j'ai perdu confiance en lui le jour où nous avons tous appris que mon frère était un fou furieux, il a bien faillit le tuer avec son couteau.

Quel genre de type se promène avec un couteau ?

Réponse : Alexandro Martines puisque, je cite « Mon père à des ennemis et moi aussi » quel excuse ! Enfin, j'accepte celui dans sa main droite sachant qu'il est en conditionnelle, que tout est hyper sécurisé, qu'il a été fouillé à son arrivée et qu'un bon nombre de flics sous couvertures nous tournent autour.

Je trempe les lèvres pour m'assurer qu'il n'y a rien d'autre que du coca et suis agréablement surprise. Effectivement il n'y avait rien.

— Tu sais Hécate, commence-t-il, je suis désolé, vraiment désolé, je suis une thérapie et puis mon tour en prison m'a bien remis les idées en place, je sais que je ne te mérite pas, je ne mérite même pas ta clémence mais laisse moi faire parti de ta vie, je t'en supplie, ça fait des années que je n'ai pas vibré comme ça grâce à quelqu'un.
— Tu sais Alexandro, j'ai été plus blessée qu'agacée, je t'apprécie beaucoup mais en tant qu'ami rien de plus mais j'aimerais que tu soit honnête avec moi, répondis-je.

J'en ai marre de me disputer avec tout le monde, d'être constamment en froid avec des gens. Je veux vivre une vie normale même si mon frère est un malade, que mon ex a fait croire à sa mort pendant dix ans, que je vie avec mon meilleur ami et que ma petite-amie est actuellement en procès avec son père. Je veux une vie plus simple.

C'est vrai ? demande l'espagnol.
Je ne sais pas qui est l'abrutis qui a dit que l'espagnol était mieux que l'allemand, répondis-je simplement, si tout les prof d'espagnol sont à deux de tensions comme toi j'ai peur du résultat.
— Eh l'Allemande du calme où je vais chercher ta petite protégée pour qu'elle te calmes, siffle Alexandro en riant.

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