𝐔𝐧 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐩𝐢𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐚𝐦𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐠𝐥𝐚𝐜𝐞.

partie 1.

Bismilillah

Reprenons où nous nous sommes arrêté, reprenons au jour où j'ai eu le malheur d'ouvrir cette lettre, il était en prison, et il allait y rester pour 5 années. Mon état était désastreux j'en ai encore de mauvais souvenir. Tout avait changé pour moi, tout mes plans, tous mes projets. J'en voulais à la terre entière pour ce qui m'arrivais j'avais l'impression que le ciel m'était tombé dessus. Retour à la case départ, retour dans cette chambre dans laquelle je suis resté enfermé 1 moi complet. Cette chambre qui abritait mes chagrins les plus douloureux. Je n'acceptais la venu de personne, ni mes parents, ni ma sœur, ni mes cousines. Nordine insistait tous les jours, mais rien. J'étais tellement méchante dans mes propos, on aurait dit une autre personne, un jnoun maléfique avait pris possessions de mon corps je crois, sans déconner je faisais peur, j'étais presque hystérique. Tous le monde en à fait les frais, surtout lui. 

C'était sa 7ème tentative, la tentative de trop, miskine, je l'ai fait galéré.

Nordine: Imen laisse moi rentrer 3eichek si tu veux pas que j'défonce la porte. 

Moi: LAISSE MOI PUTAIN LAISSE MOI TU ME LES CASSE NORDINE !

Il était derrière ma porte comme d'habitude à attendre que j'ouvre, mais ce qu'il ne comprenait pas c'est que j'voulais voir personne, tout le monde me faisait rappeler Ramzy j'en devenais folle.

Nordine: PARLE MOI AUTREMENT PAR CONTRE TA SERRE OU QUOI ?

D'un coup j'ai entendu la voix d'une autre personne, une voix que je connaissais pas, ça ma fait angoisser, in shaa Allah c'est pas ce que je crois.

Nordine: Ouvre stp, je sais que t'es pas bien mais on va parler et W'Allah que t'iras mieux, donc ouvre moi cette putain de porte. 

Sa voix était devenu plus douce, il essayait de se calmer mais moi j'en avais rien à foutre il pouvait faire sa voix mielleuse j'allais pas lui ouvrir, comme une gamine j'me suis levé et jme suis avancé jusqu'à mon bureau qui était remplit à craqué, j'ai pris une feuille et un stylo qui trainaient et je lui ai écrit "Si tu veux pas que j'envoi un message à ta mère et que j'lui poucave que t'es plus puceau, et en plus de ça que tu l'as fait avec Sabrina, écoute moi sagement et dégage de chez moi. Y'a plus rien à faire avec moi laissez moi crever. Cordialement " J'suis allé jusqu'à la porte et j'ai glissé le petit mot, est ce que ça fait de moi une grosse Ksos, oui totalement. 

Moi: Lis ça et tire toi. 

Je suis allé me rallonger dans mon lit comme ci de rien été, je fais vraiment pitié, mais c'est pas pour autant que j'veux qu'on ai pitié de moi, j'veux juste rester seule pendant ces 5 putains d'années, j'me vois pas vivre ma petite vis tranquillou alors que lui est enfermé dans sa cellule comme un chien, alors moi aussi je resterais enfermé dans ma chambre. 

Nordine: TU TE FOU DE MA GUEULE ? W'ALLAH QUE TU L'AURA CHERCHE  

Apres un petit moment de silence il avait éclaté, je l'entendais dans sa voix il était pire qu'énervé, et j'avais raison qu'en j'ai entendu des coups violent sur ma porte il était en train de la casser. Très rapidement j'ai entendu la voix de ma mère puis celle de mon père, ils criaient sur lui, mais il en avait rien à foutre, y'avait un boucan pas possible j'entendais plein de voix j'arrivais plus à distinguer qui était qui, j'angoissais comme pas possible à l'idée de revoir leur tête. Je voulais plus de contact humain, je me l'étais promis. 

Le coup fatale avait fait tombé la porte, la scène se passait au ralentit, tous me regardaient avec des yeux rond, y compris cet homme, l'imam du quartier voisin, il avait ramenait un imam. J'étais recroque vié comme une petite fille qui avait peur du méchant loup, ma couverture serré entre mes doigts, mon cœur allait craqué d'une minute à l'autre, je voyais Ramzy sur leur visage, j'le voyais et qu'est ce que ça me tuait. Ce qui m'a fait réveillé de cette torpeur, c'est le visage de ma mère qui avait fondu en larme, qu'est ce que ça fait mal. Nordine s'approchait de moi doucement, il tâtait le terrain.