Cornes de chèvre

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PDV DE HOPE :

- Bon...et bien c'est parti pour Stuttgart ! Dis-je toute exciter.

Tous me regardent puis ils hochent de la tête. Puis le directeur nous demande :

- Je veux tous le monde en costume, dans le quinjet n-°2 en moins de 10 minutes.

Nous acquiesçons tous puis Natasha et moi partons de ce pas dans la direction de la salle dans laquelle se trouvent nos costume.
Nous marchons puis arrivées dans la salle, nous nous dépêchons de nous changer. Pas le temps d'aller dans le vestiaire. Donc nous nous mettons dos à dos.

Romanoff est déjà prête mais elle m'attend car je ne sais où nous devons nous rendre après. Quand j'enlève mon t-shirt, je sens son regard qui se pose sur mes cicatrices et mes brûlures se trouvant dans mon dos et sur mes avant bras. J'ai un peu honte de montrer mes faiblesses. Je n'aime déjà pas les regarder moi, alors je ne vous dis pas quand c'est les autres. C'est aussi pour celà que je ne porte jamais d'habits qui montrent mes bras ou mon dos. Ni même mon ventre.

Nous sortons de la salle une fois que nous sommes prêtes. Je vois bien dans son regard que Natasha se questionne sur les marques qu'elle a vu. Mais je la remercie fortement de s'empêcher de me poser des questions. Même si elle essaie de le cacher, je vois bien un peu de tristesse et de compassion dans ses yeux.

[...] sur le pont de décollage, devant le
Quinjet n-°2 :

Nous arrivons puis je vois Steve Rogers portant le célèbre costume au couleur de notre drapeau. Une grande étoile 🌟 en plein milieu du torse et de son bouclier.

 Une grande étoile 🌟 en plein milieu du torse et de son bouclier

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Nous sommes tous là, prêts pour la baston

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Nous sommes tous là, prêts pour la baston. Je stresse tellement que je commence à avoir mal au ventre. Mais Natasha me sourit puis elle entre en première. Le captain me voit assez craintive et me demande :

- Est-ce la première fois que vous allez sur le terrain, mademoiselle ? Demande-t-il avec un sourire qui ce fut rassurant et compréhensif.

Je n'arrive qu'à hocher la tête pour répondre positivement. Il me fixe puis me dit :

Tous ensemble, comme une familleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant