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"Je suppose qui si je suis ici c'est que vous avez un truc contre moi. Après, je dis pas que vos arguments sont insensé loin de moi l'idée de vous manquez de respect mais je ne suis pas sûr d'avoir fait quelque chose de mal c'est 30 derniers jours où du moins quelque chose d'illégal."

"Vous êtes entrain de m'avouer avoir commis des crimes monsieur Malfoy." Demanda d'une voix grave l'homme.

"Oh vous savez, nous faisons tous des choses plus ou moins illégales dans la vie de tout les jours. Par exemple, saviez-vous qu'une loi en France dis que les femmes n'ont pas le droit de porter de pantalon? Alors, certes c'est une loi oublié mais elle est toujours présente."

"Je m'en fiche de savoir cela. J'ai des questions à vous posez que je compte vous posez."

"Très bien, allez-y monsieur l'aurore James, je vous laisse me posez vos questions."

L'homme habillé de façon sorcière était sur le point de lui jeter Avada Kedavra et pourtant, il se retenait. Sûrement pour ne pas perdre son travail pour une personne aussi inutile selon lui.

L'aurore ferma les yeux, pour ne plus voir cet arrogant aux cheveux presque blanc, inspira bruyamment et expira en faisant tout autant de bruit pour essayer de se calmer. Il réouvrit les yeux et retomba sur ce même blond au sourire toujours aussi arrogant. Autant vous dire que on exerce de médiation est un échec cuisant. Il jugea intérieurement qu'il se fera rembourser par son ami.

"J'ai quelques questions à vous posez pendant que un de mes collègues s'occupent des votre."

"Pourquoi nous ne sommes pas tous ensemble?"

"Je veux voir si vos réponses seront identiques ou les mêmes."

"Et où se trouve Maël?"

"Vous n'avez pas besoin de le savoir."

"Très bien, alors je suppose que de mes réponses ne sont pas aussi importantes que ça, car vous n'en n'aurez pas." L'homme sortit son téléphone bien décidé à oublié l'existence de l'autre personne avec lui dans la pièce.

"Je vous demande pardon et puis-je savoir la raison."

"Okay et bien on va refaire comme la dernière fois, on va prendre un exemple sur vous." Il posa son téléphone, se redressa pour pouvoir avoir un meilleur posture et car cela lui donnait beaucoup de charisme. "Si j'ai bien compris, vous avez un fils, et imaginons que à peine rentrer dans le commissariat de police, avec quelques heures d'avance, en plus, on vous sépare de lui, et que on vous place dans des pièces séparer pour vous faire un interrogatoire alors que vous connaissez toujours pas les charges accuser contre vous et que votre fils est placé dans un lieu que vous connaissez ou du moins vous savez pas où il se trouve. Pensez-vous que vous répondriez calmement et gentiment au questions d'un imbécile?"

"Je vous l'ai déjà dis. Plus MON fils reste loin de vous mieux nous nous porterons." Dit-il calmement (ou pas) au blond tout en ignorant qu'il venait de l'insulter d'imbécile.

"Et bien vous savez quoi? Parlons en un peu de votre « fils » je veux bien comprendre que les pères soient protecteurs envers leur enfant mais vous, c'est complètement différent. Et est-ce que vous vous en rendez bien compte ou c'est comment? Je connais pas votre fils, et je n'ai pas l'intention d'apprendre à le connaître. J'ai déjà une famille et je compte pas l'abandonner pour un con ou gamin ou je sais quoi qui a un lien de parenté avec vous!"

"Je pensais que la blonde n'était pas votre petite amie."

"Bien sûr qu'elle ne l'est pas! Et puis là, en ce moment, j'ai Maël sous les bras et je vous laisserai pas me l'enlever!"

Pardonne-moi [Drarry]Where stories live. Discover now