Tu es ma lumière

Chapitre 11 : Et le vainqueur est...

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Présent Mic : Le vainqueur de ce combat est Bakugo Katsuki !

Merde...je suis foutue cette fois.

Il sort du terrain sans lancer un regard à son adversaire, mais viens vers nous avec un sourire mauvais collé au visage. Je déglutis difficilement comprenant que ce sourire m'est destiné. Je ne laisse rien paraitre quant à ma trouille de me battre contre lui et prend un air confiant.

Bakugo: Prête à perdre ?

Moi : Et toi ?

Il émet un rire moqueur et me jugeant de la tête au pied puis se tourne vers les autres qui le félicite tout comme il m'ont félicité.

Une pause de 5 minutes est annoncé avant la finale.

Que je perdre ou non le combat j'ai quand même une chance d'arriver sur le podium maintenant que j'ai atteint la final. Mais si j'ai réussi à battre un gars qui a deux alters je peux bien battre Bakugo non ?

C'était peut-être que de la chance avec Todoroki. Peu importer enfaite, je vais tout donner et essayer de battre Bakugo.

Je m'écarte un peu du monde est m'aventure dans les couloirs pour pouvoir être tranquille et peut être réfléchir à une stratégie. Même si je pense que l'improvisation sera la meilleure solution contre lui. Ce gars est imprévisible.

Je profite du calme des couloirs pour me préparer psychologiquement, à affronter Bakugo et quel que soit ma position sur le podium, si je l'atteins, affronter mes parents.

Mais je me fais très vite sortir de mes pensées par quelqu'un qui se poste juste devant moi, la tête baissée je ne vois pour l'instant que ses pieds et en la relevant je vois Bakugo, les bras croiser près de son torse.

Bakugo : Tu réfléchis à déclarer forfait ?

Moi : Je ne te ferai pas ce plaisir.

Je me redresse légèrement et le fixe dans les yeux.

Moi : Qu'est-ce que tu veux ?

Bakugo : Que t'arrête.

Moi : Et que j'arrête quoi exactement ?

Bakugo : De traîner avec mon groupe de pote. Tu crois que c'est parce que j'ai arrêté, que ça t'autorise à t'immiscer comme tu le fais ?

J'y crois pas.

Moi : Crois-moi que si j'avais sut qu'ils traînaient avec toi je les auraient pas approcher. Mais maintenant c'est trop tard, je les aimes bien et ils ont l'aire de bien m'aimer, fait toi à l'idée.

J'allais partir pour mettre fin à cette discussion stupide mais il m'en empêche en mettant son bras comme barrière, sa main viens se plaquer contre le mur derrière moi.

Moi : Quoi ? Tu crois m'intimider ? J'ai plus peur de toi, tu ne l'as toujours pas compris ?

Bakugo : Et toi t'as toujours pas compris que tu foutais la merde partout où t'allais ? Ce n'est pas pour rien que t'as toujours été seule.

Connard.

Bakugo : Alors, reste loin de moi.

Moi : Sinon quoi ? Tu vas me frapper ?

Bakugo : Je ne frappe pas dans la merde.

Moi : Pourtant pendant quelque année tu t'es pas mal éclaboussé.

Je maintiens son regard mauvais alors qu'il se montrer de plus en plus menaçant.

Moi : J'ai plus peur de toi, Bakugo Katsuki. Menace-moi autant que tu veux, frappe-moi autant que tu veux, je n'en ai rien à foutre. Mais je me demande qu'elle réaction Eijiro et les autres vont avoir quand je leur dirais tout.