L'Enfer est ici 🔥 [Teen Wolf -UA- Isaac Lahey/OC]

Chapitre bonus/hors série

"Pourquoi maudire les Ombres
Alors que sans Elles la Lumière te paraîtrait si fade?"

"La meilleure façon de résister à la tentation est d'y céder."
Oscar Wilde.

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Tw lemon
ce chapitre bonus contiendra du lemon explicite🍋

Tard dans Beacon Hills, la Nuit avait jeté son châle de Ténébres sur le monde et s'amusait à espionner les Secrets des vivants.
Le Silence murmurait des ragots aux Étoiles qui frémissaient d'anticipation.
Celles-ci s'amusérent à chatôyer, projettant de discrètes myriades de lumière cristalines.

Une petite ombre drapée d'une fine robe de nuit blanche se faufila, profitant du secret de la Nuit pour assouvir sa soif de liberté et d'interdit.
Ses grands yeux verts étaient en proie à des flammes que seul le Désir pouvait réclamer.
Ses longs cheveux châtains emmêlés dansant un ballet aérien au creux de son dos et de ses reins, ses pieds nus caressant la chaleur naissante du bitume gorgée par les premières chaleurs de ce début d'été, Eden s'abreuvait de chaque limpée d'air, emmené par une douce brise et qui venait jouer avec son épiderme enflammé.

Son esprit vagabondait cependant plus loin encore que ses jambes flageolantes, dans un souvenir à l'odorat et au toucher d'Interdit.
Il rêvait à des mains sur son corps, à une bouche qui dévorait avidement la sienne, et à des doigts explorant son intimité jusqu'aux tréfonds de ses désirs les plus inavouables.
Eden se mordit la lèvre, et ce faisant se souvint de la douce morsure que lui y avait infligé Assaliah durant leur étreinte sans aucun sens et pourtant si évidente.

S'adossant à un arbre, un sentiment de culpabilité mélé d'extase brûlant chacune de ses cellules, Eden releva doucement sa chemise de nuit et défiant les Étoiles qui la regardaient amusées, elle entreprit de se rejouer dans sa tête le rêve qu'elle avait partagé avec l'Archange tout en glissant ses doigts en elle.
Fermant les yeux, elle se remémora son odeur énivrante, ses cheveux noirs qui lui chatouillaient doucement le visage, la chaleur incandescente de sa peau contre la sienne, la douceur autoritaire de ses lèvres pleines contre les siennes, sa langue qui se mêlait à la sienne....ses gestes se firent plus pressés à ce rappel de ces moments.