𝟎.𝟏

22.9K 524 393
                                    

Salem Aleykoum 🤍

Salem Aleykoum 🤍

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

Hindaya
-

J'ai jamais eu goût à la vie, mon enfance n'a pas été comme celle de tout les enfants heureux d'avoir une mère, un père, une famille qui leurs donne de l'amour pur et sein.

Hindaya, dix huit ans, dix huit ans d'existence et ma vie, est toujours la même. Contrairement à certaine personne, j'ai aucune personne sur qui je peux compté et à qui je peux tout dire. Je dois simplement me fier à moi même et c'est tout ! Il m'arrive d'être envieuse quand je vois des fille avec leurs copines et tout se raconter...

J'ai pas une très grande famille, deux petits frère et une grande sœur l'amour n'est pas au rendez vous depuis bien longtemps. Élyna elle a vingt et un an, Yassine quinze ans et Mehdi quatre ans. Je m'entend bien avec mes petits frères, même si j'ai pas une très grande relation avec eux, ça m'arrive de rigoler avec eux.

Ce sont en réalité mes demi-frères et sœur, Élyna et moi avions ni la même mère, ni le même père. Nos parents se sont rencontrés et avaient déjà des enfants, puis ils ont eux mes deux petits frères ce qui fait qu'on a un lien.

Je suis très solitaire, je me met toujours de côté quand je suis en famille parce que je me sens de trop. Je serai pas comment expliquer cette sensation mais elle est juste désagréable alors avec le temps, j'ai pris mes distances et c'est bien mieux comme ça.

Je suis pas aigri, mais je suis une personne qui  à souffert étant enfant, avant que ma mère se marie à Suleyman elle était avec à un autre homme, qui n'était pas mon père et cette homme là, nous battais toute les deux, il nous a fait une misère et jusqu'à aujourd'hui, je garde ça secret.

J'en parle jamais et ma mère n'ont plus, j'étais qu'une enfant quand j'ai vécu tout ça. J'ai jamais connu mon père, quand je suis née il n'était pas là, alors ma mère a été mariée de force a l'homme qui nous a battue et pendant cinq ans, j'ai vécu dans la violence.

Au fond de mon cœur, je suis extrêmement sensible mais je ne laisse rien paraître. Je suis une femme normal, une femme qu'on ne remarque pas ou alors vraiment très peu. J'ai connu tellement de chose, mais ça restera enfuis en moi pour toujours.

J'ai pas le droit de souffrir sinon on dira « tu veux juste qu'on te porte de l'attention » alors je ne dis rien, mon mal être je le garde au plus profond de moi et je continue à vivre en attendant la fin.

𝐇𝐢𝐧𝐝𝐚𝐲𝐚 : « 𝐦𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐯𝐫𝐞 ».Où les histoires vivent. Découvrez maintenant