Une nouvelle à Nevermore

Chapitre 28

Quand je me reveille, un bras m'entoure les hanches. Je tourne la tête et je vois Xavier encore endormi. Je prends mon téléphone en fesant le moins de mouvement possible pour ne pas le reveiller. Je regarde l'heure et il est 8h30. Je décide de me lever. Je décale son bras tout doucement et je me lève. Je me stoppe directement quand je l'entends bouger. Je me retourne et il dort toujours. Je m'habille tout doucement et je sors de la chambre. Je me diriges à la cafétéria pour me prendre à manger. Certains éléves sont déjà prêt pour la guerre.

Enid: Salut.

Moi: Salut, ça va ?

Enid: Ça va, j'ai légèrement peur pour aujourd'hui.

Moi: Pareille, on ne sait pas comment ça va se dérouler.

Enid: En tout cas j'éspère qu'il ne va pas avoir trop de blessés.

Moi: On verra.

On se pose à notre table et on commence à manger. Les autres ne sont toujours pas rêveillé. Ça me fait bizzard quand je me dis que soir soir Nevermore sera peut être détruit. Rien ne sera comme avant. Je finis mon repas et je me lève.

Enid: Tu vas quelques part ?

Moi: Je vais à Jéricho.

Enid: Je peux venir ?

Moi: Oui si tu veux.

Elle se lève à son tour et on y va. Quand on arrive là-bas, on va à Weathervanes. Tyler n'est pas là. On commande 2 cafés à emporter et on repart à Nevermore.

Enid: Tu allais à Jéricho juste pour prendre un café ?

Moi: Non, je voulais vérifier si Tyler était là-bas et il n'y étai pas. Mlle. Thornill non plus elle n'est pas.

Enid: La seule chose que je te demande, c'est de faire attention Elisa. Tu es ma meilleure amie.

Moi: Je te promets de faire attention.

Elle vient vers moi et elle me fait un calin. Une fois qu'on arrive à Nevermore. Tout le monde est rêveillé.

Ajax: Vous étiez où ?

On leurs montre nos cafés.

Ajax: Il y a du café ici aussi.

Moi: Mais il est moins bon qu'à Weathervane.

Enid: Xavier n'est pas encore réveillé ?

Ajax: Non, je ne l'ai pas vu.

Moi: J'y vais.

Je me dirige dans le dortoir. Quand j'ouvre la porte, effectivement il dort encore. Je décide de le reveiller car il est 10h et le petit déjeuner se fini dans moins 1h. Je me dirige vers lui et je lui fais un bisou sur le front. Il ne se reveille toujours pas donc je l'embrasse. Cette fois ça marche puisqu'il m'entoure avec ses bras et il me fait tomber sur le lit.

Moi: Xavier, il faut se lever.

Xavier: Pourquoi ? On est bien là.

Moi: Parce que de 1, le petit déjeuner se fini dans environ 45min et de 2, aujourd'hui c'est la guerre.

Xavier: J'ai pas envie de ça.

Moi: Personnes en a envie mon cœur.

Il me sert encore plus fort et on se lève. Je sors de la pièce pour qu'il puisse se prépare et moi je vais m'entraîner pour si jamais il y a un problème se soir. Je continue à m'entraîner et je sens 2 mains qui se pose sur mes hanches.

Moi: Arrêtes de me déconcentrer.

Xavier: Je ne fais rien dutout.

Il me fait un bisou dans le cou et je baisse mon arme. Je me retourne vers lui et il me prend dans ses bras.

Xavier: J'ai peur pour toi.

Moi: Je sais, mais Mercredi est ma sœur, je l'aime plus que tout et je dois la protèger. C'est mon devoir en tant que sœur.

Xavier: Je sais, mais s'il te plaît ne te fais pas tuer se soir.

Moi: J'essayerai.

Xavier: Tu es sûr que je ne peux pas rester avec toi ?

Moi: Non, toi, tu vas mettre les autres en sécurité et toi aussi.

Il souffle et je le sers encore plus dans mes bras. Je sais qu'il s'inquiète pour moi. Je me sépare de lui et je recommence à m'entrainer. Le problème avec cette guerre, c'est qu'on ne sait pas quand est-ce qu'elle va commencé ni quand est-ce qu'elle va se terminer. Quelques heures plus tard, je me promène dans l'école dans l'espoir de trouver Mercredi. Je la cherche dans presque toutes les pièces de l'école mais je ne la trouve pas. Alors je me rends dans la salle des Belladones. Elle est au milieu de la salle avec le livre où il y a le dessins d'elle et de Crackstone. 

Moi: Tu vas bien ?

Mercredi: Oui, je réfléchissais.

Moi: Tu sais quand est-ce que ça va commencé ?

Mercredi: Non, dans ma vision il y avait seulement la bataille. 

Moi: Tu penses que ça va aller ?

Mercredi: Comment ça ?

Moi: Tu penses que tout va bien se passer ?

Mercredi: Je n'en sais rien, nous verrons bien. 

Elle me fait un sourire réconfortant et nous remontons. Quand nous arrivons vers la court. L'herbe est en feu.