Chapitre 17 "Sans regrets"

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Nos lèvres se joignirent dans un baiser ardent où je pouvait m'ouvrir à toute ces nouvelles émotions que seulement Katarina et seulement elle me faisait ressentir. J'avais envie de pleuré de joie tellement je me sentais bien à cette instant; plus rien ne compter pour moi actuellement, ni Emy, ni mes parents ou même mes études. Elle approfondie celui-ci, glissant ces mains sur mes hanches, me faisant déplacer pour m'acculer contre sa voiture; sentant le métal froid à travers mes vêtement. Je ne savait pas quel heure il était mais tout se que je voulait, là maintenant, c'était passer le reste de la nuit avec elle. Le sensation de chaleur dans mon bas ventre me pousser au delà de la  limite maintenant brisé  que je m'était fixé, que je m'était promise; mais je ne pouvais pas lui résister ni léviter plus longtemps.

Elle embrasser à présent mon coup avec appétit, me faisant rejeter la tête en arrière, le regard plongé dans les étoiles. Mon souffle sourd transformé en nuage de vapeur la fit me regarder, stoppant tout gestes tel un prédateur près à sauter sur sa proie.  Son regard bleu sombre fixé le mien avec désire et je lui renvoyer le même regard. Devenions nous stopper ? Mon corps disait non mais mon esprit me disait que c'était mal, très mal.

Le téléphone vibra encore, même trop souvent et Kat d'un geste délicat me pris le menton de sa main droite.

- Je devrait te ramener je pense ...

Je sentait dans sa voix du regret de devoir me demander ça, mais aussi la même voix enroué de désire que moi.

Je ne voulait aucunement stopper mon ambition et lui sourie avant de lui susurré :

- Me ramener chez toi tu veut dire ?

Mes mains avait glissé sur son cou, la caressant avec tendresse la sentant frissonner à ma réponse mais c'était à a son tour d'être perdu. Son regard où se lissait de la peur, de l'incompréhension me firent un choque certain dans mon cœur. Non, je voulais pas la perdre.

Je l'embrasse alors à nouveau pour l'apaiser de tout problèmes qui lui embrouillé l'esprit.

- Tout va bien se passé 

Elle se recula et je revit le dragon à nouveau dans ces yeux pétillant avec les quels elle me dévoré du regard.

Le trajet en voiture ne fut pas long, la nuit avait bien avancer et les rues était vide de véhicules à cette heure-ci. Son appartement situé dans un quartier non loin de la fac, était d'une tranquillité absolue et le chic de sa déco me firent ressentir un profond respect envers sa personne. D'une main assuré, elle me guida à sa chambre pour mis allongé avec prévenance, me dévorant les lèvres de ces embrassades. Je l'arrêta un instant en rigolant doucement devant son regard irrité de l'interruption de son acte et éteignit mon smartphone pour oublié toute personnes en ce monde pour m'abandonner à celle que je désirer tant.

Le soleil dans son ascension, caressa mon visage jusqu'au paupières qui papillonnèrent avec difficulté dans un regard épuisé. Le matin était difficile et je me sentais si lourde que juste la force de me tourné vers la femme qui m'avait faite veillé toute la nuit sous des caresses et des étreintes passionnels. Elle dormait paisiblement, la lumière du jour illuminé sa peau si clair et je me surpris même à l'admiré tel un tableau que je n'aller plus jamais revoir. Ces yeux s'ouvrirent doucement vers moi, et un sourire ce dessina à ma vue.

- Bonjour toi 

Sa voix enroué prouvé aussi la petite nuit qu'elle avait passé mais son regard à nouveau brillant d'émotions disait qu'elle ne regretter aucunement ces choix. 

- Bonjour 

Elle vint m'embrasser avec tendresse et joie que je n'ai pas disparue plus tôt la laissant alors seule dans des draps froid comme ci cela n'avait jamais exister et de la revoir en cour, assumant aucune responsabilité de cette nuit torride. J'avais décider, au contraire, de rester au près d'elle car moi aussi j'avais peur qu'elle change d'avis. Ironique non ? Elle se leva la première du lit et je pu revoir à nouveau les courbes si parfaite de son corps nue où je pu constater des lacérations le long de son dos. C'était la première fois que je les voyez, les ayant sentie sous mes caresses dans la nuit je n'avait pas ossé demander leur origines. Tout le monde à ces secrets.

Madame Adler // TOME IOù les histoires vivent. Découvrez maintenant