chapitre numéro quinze

3.1K 147 23
                                    

previously on...

  Alors que je m'éloignée du lycée, ma main s'est mise à me brûlé jusqu'à m'en arracher un hurlement avant que tout ne devienne noir.  

now...

D'un coup, je vis une lumière blanche qui me transporta hors de mon sommeil. Je me réveillais en sursaut, et en toussant à m'en arracher les poumons.

Quelqu'un est arrivé vers moi et m'a tendu un verre d'eau que j'ai pris et d'une seule traite. Ma vue s'est peu à peu habitée à la lumière de la pièce, et quand ces derniers arrivèrent enfin à discerner quelque chose dans la pièce, j'ai remarqué que je me trouvais dans une chambre d'hôpital, Stiles et Kol tous deux présent dans la pièce.

- Qu'est ce que je fous dans un hôpital miteux avec vous deux ? Dis-je en me frappant le front.
- Contente de te voir, ça va bien, merci de nous demander, répondit Stiles, tout sarcastique.
- Joue pas le sarcastique avec moi Stiles, surtout pas maintenant.
- Ouais bah en attendant tu devrais me remercier !
- Comment ça ?
- C'est Stiles qui t'as retrouvé, commença Kol, t'étais pas loin du lycée, complètement inconsciente, t'as eu de la chance qu'il te trouve le premier.
- Ah oui ? Qu'est ce qu'il s'est passé ?
- Aucune idée. En fait, je suis sortis du lycée en retard car j'ai du passer voir le coach.. Et en repartant chez moi je t'ai trouvé sur le sol, expliqua Stiles.
- C'est déguelasse tous ces fils sérieusement, chuchotai-je, d'accord, et maintenant ? On fait quoi ? Je peux sortir ? Repris-je.
- Je ne pense pas que ce soit une excellente idée, Allyson... Commença Kol.
- Je m'en fiche de ton opinion Kol, je veux juste sortir de ce foutu hôpital de charité, et rentrer chez moi prendre un bon bain chaud, tout en mangeant des macarons !
- Est-ce que tu te rends compte que tu as perdue connaissance ? Comme ça, en pleine rue ? Me demanda Kol.
- Oui, parfaitement, dis-je en lui faisant un sourire hypocrite, mais je suis une grande fille, je peux me débrouiller toute seule, j'ai pas besoin d'avoir un garde du corps ou un infirmier qui prenne soin de moi vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Je suis plus une gamine, dis-je avec un ton surement glacial.
- Comme tu veux, après tout. Et comme tu le dis si bien, tu es la reine, tu fais ce que tu veux et les pions sont entre tes mains. Bon courage princesse et ne viens pas pleurer dans mes draps quand tu auras besoin d'un potentiel soutien morale ou même une pulsion physique.
- Je n'y compte pas penses-tu, tu me connais voyons.

Stiles était là lui aussi, comme un con à essayer de comprendre ce qu'il se passait, pourquoi j'avais réagis comme ça et sur quoi se basait notre conversation.

- Ne t'inquiète pas, j'ai quelqu'un d'autre à appeler en cas de besoin, tu te rappelle ? Commençais-je en faisant semblant de chercher, il s'appelle Morgan, un brun mortellement canon, avec de jolis tatouages ? Tu sais, celui qui m'a offert une tequila dans ce bar branché en France ! Je suis sûre que tu t'en souviens !
- Je vois très bien de qui il s'agit, mais ce mec et un connard.
- Qui se ressemble, s'assemble.
- Voilà qui clore notre conversation !
- Oui exact. Mais une dernière chose...
- Quoi encore ?
- Je ne reviendrai sûrement pas dans tes draps, et TU te battra pour ré-accéder aux miens.
- On verra bien.
- J'en mets ma main à couper !
- Je retiens cette proposition.
- Comme tu veux.

Comme un au revoir, le brun m'embrassa furtivement la joue avant de sortir de la chambre d'hôpital aux murs morbides. Je soupirais en pouffant de rire avant d'aborder un tendre sourire en coin. Je levais finalement le regard vers Stiles, qui paraissait complètement perdu.

- Quoi ? Dis-je.
- Qu'est ce qu'il vient de se passer ... ?
- Oh, c'est pas de ton rang. Tu pourrais me rendre un service ?
- Ouais... Lequel ? Soupira-t-il.
- Tu pourrais aller chez moi, me prendre une tenue convenable, une brosse, mon sèche-cheveux et du dentifrice, et me rapporter un café en passant ?
- Le mot magique ?
- Dépêches-toi ?

Il prit une mine dépitée en secouant la tête négativement, l'air désespéré et sortit rapidement de la pièce. Je m'étirais en faisant un sourire, et en pensant à tous les coups que j'allais pouvoir préparer.

Le retour de la petite garce s'annonce grandiose !

C'est vrai que, à première vue, j'ai été un peu plus gentille ces derniers temps, et ça ne me convenais pas vraiment... Je devrais reprendre mon poste et élucider le mystère de cette marque sur ma main. J'irai sûrement voir Deaton, seule.

Il fallait aussi que je contacte au plus vite Morgan, lui demander si des vacances à Beacon Hills, avec moi évidement, lui plairai.

Je me levais de ce lit d'hôpital peu confortable et pénétra dans la salle de bain, me débarrassant à la hâte de cette atroce robe d'hôpital pour prendre une douche.

Pendant que l'eau coulait contre mon corps, j'inspectais cet étrange signe sur ma main. Un cercle, une croix à l'intérieur, qu'est ce que ça signifie ? Quels mystères se cachent derrière cette marque étrange?

Je sortis finalement de la douche après m'être savonné et avoir réfléchis pendant presque une demi-heure, toujours sans réponses à mes questions. Tandiss que j'enroulais la serviette autour de mon corps frêle, on frappa à ma porte.

- Entrez ! Dis-je en passant ma tête par la porte de la salle de bain.

A ma plus grande surprise, je vis Allison. Elle semblait inquiète mais elle me fit un léger sourire, que je lui rendis.

- Qu'est ce qui t'amène ? Dis-je en m'approchant d'elle.
- Je voulais savoir si tu allais mieux, et j'avais un truc à te dire.
- Ça va, je sors bientôt. Qu'est ce qu'il y a ?
- Ta sœur, elle est introuvable.
- Comment ça ?
- Elle à disparue, un peu près au même moment ou tu as été transférée à l'hôpital.
- Et ? C'est le genre de Lydia de disparaître, j'ai cru comprendre qu'elle l'avait déjà fais
, riais-je.
- C'est sérieux Allyson, c'est ta sœur quand même.
- Ma sœur qui à hésité entre me laisser la vie sauve, ou me laisser crever dans un minuscule dôme avec un vampire assoiffé de sang. Ça te va comme réponse ?
- Ecoute, je sais qu'elle n'a pas assurée sur ce coup là, mais tu n'aurais pas une idée sur l'endroit ou elle pourrait être ?
- Au centre commercial ? Non, sérieusement, je n'en ai aucune idée.
- Merci pour ton semblant d'aide !
- Mais de rien !

Allison est sortie de ma chambre en soupirant et quelques secondes plus tard, on frappa une seconde fois.

- Entrez ! Soupirais-je assez pour qu'on m'entende.
- C'est moi ! Cria Stiles.
- Tu n'es pas vraiment obligé de crier tu sais.
- Tu... T'es... Euh...
- C'est bon Stiles, ne bégayes pas. Files-moi mes affaires !
- Euh... Ou... Ouais tiens...

Il me passa mes vêtements ainsi que ce que tout ce que je lui avais demandé. Je m'habillais et me sécha les cheveux, les laissant tomber en cascade sur mes épaules. Je me brossa les dents et sortie de la salle d'eau pour me rendre de nouveau dans « ma chambre » d'hôpital.

- Bon. Merci à toi de m'avoir aidé, mais nos chemin se sépare ici.
- Je ne crois pas non.
- Comment ça ?
- Je sais que tu veux aller voir Deaton pour la marque sur ta main.
- Stiles, je n'ai pas...
- Tu ne veux pas l'avouer, mais je sais que tu as besoin de moi.
- Je n'avoue rien puisque c'est faux.
- Arrête de mentir.
- Arrête de m'emmerder.

Il insista, plantant son foutu regard sérieux et implorant dans le miens : mais quel crétin.

- Bon, très bien, accompagnes-moi si ça te chante. Mais n'oublies pas Stiles, on n'est pas amis, ok ? Tout ce qu'il s'est passé n'est qu'un malheureux malentendu.
- C'est comme tu veux, mais je ne te laisse pas y aller seule.
- Eh bien, je t'appelle plus tard, mais la je veux juste dormir dans un lit confortable.
- Je te raccompagne ?
- Si ça te chante...

Je soupirais et on sortis tous les deux de cette hôpital miteux pour se rendre dans la vieille Jeep bleue de Stiles.

LYDIA'S TWIN IS CRAZY  𖠚  dobحيث تعيش القصص. اكتشف الآن