J'ai réalisé que je t'ai,
malheureusement, érigé en obsession pour mon esprit.Peut-être parce que le son de ta voix couvre les hurlements que je ne veux plus entendre.
Ou bien est-ce parce que cette solitude me touche au plus profond de mon être ?
Ce manque.
D'un quelque chose que j'imagine au creux de mon ventre.Il s'échappe et glisse entre mes doigts,
La vapeur de mes rêves s'évanouit.Peut-on mourir de l'absence de ce qui n'a jamais été ?
Je crois que oui.
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Stop listening to the static
PoetryTu ne peux pas capturer ce moment. Il s'est déjà évaporé.