•Human laws won't protect you• {Kazuha x Heizou story 2}

•Chapitre 13 : L'aide d'un revenant•

Kazuha buvait un chocolat chaud préparé par Diluc. Il venait de vivre une expérience peu plaisante dans sa chambre. Rare sont les fois où il a autant craqué. Il était autant inquiet pour lui que pour Heizou à présent. Son corps et son esprit n'allait pas bien et à présent, il en avait conscience. La porte d'entrée s'ouvrit d'un coup et, Bennett et Razor apparurent.

Bennett : Kazuha ? Merde.. Je voulais pas que tu sois là...

Kazuha : Qu'es qu'il se passe Bennett ?

Bennett : Rien, rien... Ou est Diluc ?

Kazuha : Qu'es que tu cache ? Tu vas pas commencer à faire ton Heizou quand même ? Dit-moi.

Bennett : Nan... Désolé Kazuha mais on veut éviter que tu fasse une crise.

Kazuha : Une crise sur quoi ???

Razor : Sur un mort qui ressuscite.

Bennett : Razor !

Razor : Bah quoi ?... Si ça le concerne, il a le droit de savoir, non ?

Bennett baissa les yeux. Le garçon avait raison. Mais Kazuha était bien plus faible, mentalement, qu'avant et c'était assez dangereux de lui révéler ce qui ce passe.

Diluc : Bon, c'est quoi ce vacarme ?

Kazuha : Ils me cachent un truc !

Si le roux s'en mêle, Bennett ne pourra plus rien cacher. De toutes façons, il pensait que tout était déjà cramé...

??? : Lâche moi, veux-tu ?! Et explique moi ce que je fous la !

Albedo arriva, traînant à ces côtés un jeune homme aux cheveux courts indigo, aux yeux d'exactement la même couleur avec une pointe de malice à l'intérieur. Ses mains étaient ligotés dans son dos et l'alchimiste le tenait fermement par le bras.

Albedo : Du coup, j'en fait quoi maintenant qu'il est réveillé ?

Un cri de stupeur retentit dans la pièce. Le jeune samouraï avait écarquiller les yeux et des larmes apparurent. Est-ce possible ?

Kazuha : Kunikuzushi ? Non... Tu es mort...

Scaramouche : Ah bah non, je me sens vivant.

Kazuha : Alors... Une expérience de Dottore pour Shitai j'imagine ? Tu n'es qu'une illusion ?

Albedo : Je ne crois pas. Il est doté qu'une conscience propre, sans ordre qui sont donnés au cerveau. Son cerveau marche comme le notre, comme son cœur et ses poumons. Tout son corps marche comme le notre.

Kazuha : Mais alors ?..

Albedo : Même si j'ignore comment Dottore s'y est pris... Il l'a ressuscité. C'est une vérité.

Kazuha : Ce n'est pas possible...

Scaramouche : T'inquiète moi aussi j'ai un doute...

Le samouraï le regarda. C'est vrai qu'il n'avait rien à voir avec Tomo. Ses yeux étaient vivants. Une lueur de vie l'éclairait. Alors c'était bien vrai ?

Scaramouche : Du coup, on peut me détaché ? Ou c'est en option ?

Albedo : En option.

Scaramouche : T'es un petit rigolo dis-moi !

Kazuha : Détache le s'il te plaît. Je veux le voir de plus près.

Scaramouche : On touche pas aux œuvres d'art !

Albedo obéit et enleva les liens du vagabond qui le toisa d'un regard méfiant. Puis il s'approcha du samouraï qui le prit dans ses bras.

Scaramouche : Laissez moi deviner, OK ?