chapitre 3

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Je me suis redressé sec.
Je me suis précipitée sur la portière pour essayer de l'ouvrir, mais rien n'y fais elle était fermée.

- tout doux Bella

J'ai vu leur regard posé sur moi.
Il n'avait rien à voir avec mes assaillants de la veille.
J'étais perdu, j'étais effrayé, je voulais partir.

- laissez-moi tranquille, vous êtes qui.

- tu n'as pas besoin de savoir qui nous sommes.

Je me suis effondrée à nouveau en pleurs.
Il n'avait pas l'air de comprendre pourquoi.

J'ai été encore plus tétanisé par l'épouvante lorsque j'ai constaté que celui qui était assis à mes côtés avait une arme posée sur la cuisse.

Il a suivi mon regard et je pense qu'il a compris ma peur.

- t'en fais pas, je ne compte pas m'en servir à moins que tu choisis d'essayer de nous fausser compagnie.

Je me suis tu, je continue à pleurer en silence, je pleurais ma meilleure amie, j'étais tiraillé entre un sentiment de haine à l'égard de ses assassins et de honte.
À être à moitié nu dans la voiture d'inconnu

- bon les mecs moi, j'ai faim arrête-toi à la prochaine aire d'autoroute

- non, on ne fait pas de détour, on nous a ordonné de livrer la fille au plus vite.

Me livrer moi, mais ou pourquoi faire

- il faudrait déjà la ramener en vie, elle est à moitié morte là.
Arrête-toi faut qu'elle mange.

Le conducteur a quitté les yeux de la route et s'est retourné. 

- Tu à faim ?

- non

Sauf que mon ventre m'a trahi en gargouillant hyper fort

Ils m'ont tous les trois regardé et ont éclaté de rire.
Je me suis sentie encore plus stupide.

Au bout d'un quart d'heure, on s'est arrêté devant un restaurant de gaufre en bord de route, je me suis dit que si je réussissais enfin sortir de la voiture, je pourrais m'enfuir.
Mais c'est sans compter sur les trois gros bras qui me surveillent de près l'un d'entre eux m'a ouvert la portière.
Mais je n'ai pas voulu descendre de un parce qu'il fait froid et que je suis la seule à ne pas être habillé et de deux parce que je n'ai pas envie de me retrouver à moitié à poil dans un restaurant.

- tu attends quoi pour descendre.

- il fait froid.

L'un d'entre eux de l'autre côté de la voiture à crier

- caleb qu'est-ce que tu fou 

- elle ne veut pas descendre.

 L'homme assi côtés passager qui s'était montré calme jusqu'à présent et qui ne s'était pas montré bavard dans la voiture 
À fait, le tour du véhicule m'a attrapé par la main et ma sortie de force de la voiture
J'avais tellement froid que j'arrivais à peine à marcher, il me traînait littéralement derrière lui, je suis dehors en sous-vêtements et pieds nus et il n'a même pas l'air d'avoir un peu pitié de moi.

 - doucement Conn il ne faudrait pas abîmer la marchandise 

Conn , Júan et Caleb, je retiens au cas où pour dénoncer à la police une fois que je me serais sorti de ce merdier

Conn me traînait sans ménagement jusqu'au restaurant, il a ouvert la porte et une fois que nous nous sommes retrouvés à l'intérieur, je me suis retrouvé avec les regards de tous les clients river sur moi

CATALINA Where stories live. Discover now