Mes 3 voisins Coquins - Tome I

Chapitre 3

— je ne sais pas.

Kate a quitté la cuisine nous laissant seuls.

C'est vrai je suis dans une maison avec 3 beaux garçons devant moi, ne sachant pas quoi faire

Matteo s'approche de moi et me prend le menton.

— hey

— laisse-la tranquille —Dit Dylan en retirant la main de Matteo

Anthony : ce n'est pas comme ça qu'on traite une dame

Matteo : tu parles comme si tu savais de quoi tu parles

Je n'ai pas bougé pendant un moment

— laissez-moi vous montrer comment traiter une fille. —Dit Dylan avant de m'embrasser.

J'ai eu des frissons après avoir senti ses mais vers mon dos, puis doucement il s'en va.

J'ai fait quelques piqûres pour m'assurer que je ne rêvais pas ou n'imaginais rien.

Après Matteo s'approche et m'embrasse aussi bien comme son frère.

— mais ? Vous êtes fous ou ça se passe comment ? — dis-je mais ils me regardent comme des Idiots.

Anthony m'a donné un bisou vite fait sur mes lèvres, après ça, je me suis énervée et je recul par derrière.

Qu'est-ce qu'il y a dans cette maison ? Ils sont tous comme ça ou je délire ?

Nous avons écouté des bruits venants de l'autre côté, donc on s'éloigne, chacun d'entre nous.

Kate est de retour

Kate : je viens de goûter le gâteau et franchement tu dois me passer cette recette

Je souris un peu timide

— si vous voulez bien, je pourrai demander à ma mère. Je m'en vais alors, enchanté de vous avoir connaître

Kate : enchanté de ma part aussi, tu seras toujours bien venu chez moi. Dylan va t'accompagner jusqu'à chez toi.

— mais non, pas besoin madame

Dylan : avec plaisir, s'elle veut bien que je l'accompagner

Kate et Dylan me regardent

— si vous insisté bien.

Dylan : allons-y alors

Je me tourne vers la porte

Anthony : à plus

Dit-il avec un petit sourire malin dans ses lèvres

Matteo à rouler les yeux vers le haut et s'en va vers les escaliers.

Mais dès qu'il monte le premier pas, il s'arrête pour me faire un "salut" avec sa main.

Ils m'ont souri avant d'aller ensemble au deuxième étage de leur maison.

Dylan : Il reste que nous maintenant

— oe

On est parti au dehors de sa maison
Pendant qu'on traverse la route

— tu as quel âge ??- demande-t-il en me regardant dans les yeux

— 18 et toi ?

Je lui ai demandé avec une curiosité plus grande que la normale

Dylan : tu crois que j'ai quel âge ?

— 18 aussi, non ?

Dylan : j'ai 18 ans. On ne dirait pas, je le sais

— on ne dirait vraiment pas. — Dis-je en lui faisant sourire

Et quel sourire.... Oh mon Dieu. Comme il est beau

Dylan a des yeux verts comme des émeraudes, de brèves et jolies taches de rousseur sur le visage, des cheveux bruns et légèrement longs, des lèvres fines et roses et un sourire charmant.

Dylan : non mais, j'ai vraiment 18 ans

— si tu dis, alors je te crois - je souris

Dylan : tu es marrante, ton mec doit être très accro

— j'ai pas de mec — dis-je en regardant ses beaux yeux — je suis pas le type de meuf que vous les garçons aiment pour être en couple

Dylan : tu es grave mon style

J'ai avalé le peu de salive que j'avais dans la bouche

— euh... D'accord

Dylan : tu es à quel université d'ailleurs ?

— NY Academy, C'est à quelques minutes d'ici, pourquoi tu veux savoir ?

Dylan : pour rien, tu n'inquiètes pas.

— bah, nous sommes arrivés chez moi —dis-je devant la porte de chez— merci d'avoir m'accompagner jusqu'ici

Dylan : ne t'en fais pas, ça te dérange de me passer ton snap ?

— bien sûr que non — je lui montre mon portable et il m'ajoute tout de suite.

Dylan : on se parle après ?

— si tu veux bien

Et maintenant on est en train de se regarder sans rien dire, et je n'aime pas cette sensation bizarre que je ressens

Mère : euh, Tu ne vas pas me présenter ton nouvel ami ?

— olala maman, j'ai eu peur

Dylan rigole légèrement et Étends son bras pour saluer ma mère

Dylan : bonjour madame, enchanté d'avoir vous connaître. Je suis votre nouveau voisin

Ma mère lui sourit

Mère : enchanté, soit bienvenu

Dylan : merci madame

Mère : appelle moi Matilde

Dylan : comme vous voulez, Matilde

— ça serait mieux si tu rentres chez toi Dylan. Ta mère peut s'inquiéter

Mère : Léa, sois gentille avec notre voisin

— mais je rien dit de mal

Dylan : elle a raison Matilde. Je dois rentrer, cependant suis content d'avoir pu vous connaître

Mère : c'est exactement pareil pour nous, n'est-ce pas Léa ?

— oui

Dylan M'a embrassé sur la joue avant de partir chez lui

Ma mère me regarde bizarrement avec un petit sourire sur les lèvres

— non, maman, n'y a rien — dis-je en rentrant chez nous

Elle rigole et rentre aussi

Je monte les escaliers jusqu'à ma chambre où j'envoie un message à Emmanuela pour lui dire ce qu'il vient de se passer

Bien sûr que je ne l'ai pas rencontrée que les mes m'ont embrassé, car ça sera bizarre