Une place à Poudlard

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Nous arrivâmes à la maison. Je déchargea ma valise du coffre et m'empressa d'ouvrir la porte d'entrée avec ma clée.
- Bonjour Brooklenda.
Un vieillard avec une longue barbe blanche garni de jolis perles se tenaient sur le canapé de notre salon.
- Maman, y'a le vieux plouk de voisin dans notre salon, Hurlais-je.
- Quoi ? Demanda ma mère en rentrant à son tour.

Quand elle vit le vieil homme, elle lâcha les sacs de courses qu'elles tenaient dans ses mains. Un lot de pâtes se deverssèrent sur le sol. Voilà et qui va nettoyer, c'est Brookie, comme dab'.
- Albus Dumbledore !
Elle courut vers l'homme et s'agenouilla. Purée mes qu'est ce qu'elle fait !
- Releve-toi Ursula ! Fit l'homme.
- Oui maman, écoute-le relève-toi, dis-je de la voix, la plus honteuse possible.
Elle finit par se relever.
- Oh Monsieur Dumbledore, quel vaut ce plaisir de vous revoir ?
- Le plaisir, qui n'est pas réellement un plaisir. Juste que, j'ai reçu une lettre du ministère de la magie, au sujet de votre fille, Brooklenda.
- Wha ! J'ai fait quoi encore, dis-je.
- Tu t'es encore fait renvoyé de ton école.
- Oui et d'où ça l'intéresse au ministre ?
- Et bien, cela l'intéresse, parce qu'il ne supporte pas les bons élèves comme toi. Pertubatrice, certe, mais d'une très grande intelligence arrêtant l'école.
- Donc ? Continuais-je.
- Donc, il m'a demandé de t'offrir une place en 5 ème année dans mon école.
- Et c'est quoi l'école ?
- Poudlard.
- Poudlard ? M'écriais-je d'un ton surpris.
Poudlard, la plus prestigieuse ecole de magie anglaise, mon dieu ! Je vais entrer à Poudlard, j'en est rêvé toute ma vie ! Mais il y a un problème...

- À Poudlard, commença ma mère, mais c'est loin, c'est dans un autre pays !
- Oui Ursula, mais je suis bien obligé, Poudlard est la dernière école, dans laquelle, votre fille n'a pas encore mit les pieds. Et je sais qu'elle s'y plaira.
- Dit oui maman !

Je sautais déjà de joie. Découvrir un nouveau pays. De nouveau horizons. Des nouveaux styles ! Aw, je sens déjé l'odeur de la belle vue de Big Ben !
- Mais, elle reviendra à la maison, n'est-ce pas Albus.
- Oui à chaques vacances ! C'est toi qui en décide, elle peut rester là-bâs pendant les deux semaine ou rentrer.
- Il y a des trains ? Questionna ma mère.
- Un grand train.
- Mais Albus, est-ce qu'elle sera en sureté ? Oui, parce que tu sais qu'Antonin..
- Oui, je sais Ursula, fit Albus.
- Antonin ? maman, tu parles de papa là !
- Monte dans ta chambre, ordonna ma mère.
- Non, je veux aller à Poudlard. Je veux savoir si j'y vais. Mais parle-moi d'abord de papa.
- Monte dans ta chambre ! Tu iras à Poudlard. Mais je refuse d'aborder le sujet de ton père.
- Pourquoi ?
- Rien. Ta chambre !
- Je n'y monterai pas.
Albus tapa des mains et d'un coup, je me retrouva dans ma chambre. Ma valise à la main.
- Non ! M'écriais-je.
Je courus vers ma porte mais celle-ci était verrouillée.
Grr pas le droit d'utiliser ma baguette, en dehors, des écoles.
- Alhomera, dis-je.
J'espèrai que la technique: je parle à une poignée de porte pour qu'elle s'ouvre fonctionnerai. Mais je passais juste pour une débile mentale.
Je colla tout de même mon oreille à la porte mais n'entendit que le son d'une musique.
- J'aime le bridou, qu'il soit rouge, vert ou gris.
Normalement cela m'aurait fait rire. Mais je tenais à entendre ma mère, parlée de mon père et surtout pourquoi, il n'est pas avec moi...

- Oh ! Hurlais-je en tapant sur la porte. Ouvrez ! Ouvrez ! Bridou ? Ouvre s'il te plaît.
Quel idiote, tu fais Brookie !
- Merci la conscience !
De rien..
- Grrr je t'ai pas demandé de réponse. Ok.
Je partais completement dans un délire fou.
Je me coucha sur mon lit et chercha une chose sous mon coussin.

Elle était là. Bien au chaud. Une photo. Une photo, d'Antonin Dolohov. Mon père. Il était avec ma mère à se regarder attentionnément . Le bon vieux temps, je suppose, enfin pour elle. Moi, je n'étais pas encore là. Mais t'inquiete bro', j'ai débarqué le mois d'après. Fin, on m'a annoncé le mois d'après. Et c'est aussi à ce moment là, qu'Antonin est parti. Il m'a laissé avec ma mère.
Je n'ai que quinze ans, seize l'années prochaines, mais je suis assez intelligente pour comprendre que mon père a été un lâche sur le coup. Et qu'il mérite que je le déteste mais ceux-ci est trop dificile pour moi. Je dois l'aimer. Je suis quand même, une part de lui...
- Brook.
Ma mère entra dans ma chambre. Je fis mine d'être vexée, mais l'écouta.
- Tu pars à Poudlard dans quatre jours. Fais ta valise.
- Wah ! Et c'est une blague, j'pensais avoir des vacances, quand même. A peine, je me fais renvoyer que je repars à l'école ! Et déjà ma valise est toujours faîtes, dis-je en lui montrant le sac qui traînait au milieu de la pièce.
- Je sais, mais léve toi, on va devoir aller acheter, ta robe de sorcière et tout tes cahiers...
- Où ?
- A Pré-Au-Lard.
- Mais, j'ai toujours mes cahiers de Beauxbattons.
- Oui, mais il t'en faut des nouveaux. Lève-toi, je te dis. On va prendre un petit hôtel là-bâs. Et tu passeras tes fausses-vacances à Londres.
Elle tremblait et transpirait. Rien qu'a l'idée de repartir dans la ville de papa.
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Hey guys ! How are you ?
Bon voila, un petit chapitre, un peu plus long, et tout tout.
Enfaite, si vous voulez, je n'ai rien à dire, mais bon voila quoi, fallez que je vous écris un petit truc quoi lol
So kiss
Les gens
Dardar

Une sorcière moldue à PoudlardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant