Chapitre 2

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Wendy- tous les enfants, à une exception près, grandissent. Voyons, tu sais d'où viennent les contes de fée, Maggie ?

Elles se mirent à réciter la légende ensemble, synchronisant leurs voix.

- quand le premier bébé a rit, pour la première fois, le rire a éclaté en mille morceaux. Ils ont ricochés un peu partout, et ce fut le début des contes de fée.

Wendy- et regarde.

Elle tourna quelques pages du livre qu'elle lisait avec sa petite fille, laissant apparaître une jeune fille se tenant sur l'appuie d'une fenêtre.

Wendy- je suis, Wendy. Quand je l'étais il y a déjà bien longtemps...

Maggie- mais Jack dit que tu n'es pas vraiment la VRAIE, Wendy.

Wendy- oh et bien...tu vois où est Jack ? (Celui-ci se tenait devant la fenêtre de la chambre.) et bien, c'est la même fenêtre et c'est la même chambre, où nous nous racontions avant de nous endormir, les histoires de Peter pan, du pays imaginaire, du terrible capitaine Crochet.

Zoé, qui était assise dans son lit sans prononcer un mot, écoutait l'historie de sa grand-mère Wendy avec un léger sourire dessiné sur ses lèvres.

Wendy- et vois-tu, monsieur Baril, enfin Sir James, notre voisin, aimait nos histoires à tel point qu'il en a fait un livre pour les enfants. Quand j'y penses...il y a quatre-vingt ans.

Maggie- qu'est-ce que t'es vieille !

Wendy- tu as bien raison. (Répondit-elle, amusée.)

Puis, Peter entra dans la chambre des enfants et se pencha sous la tente faite avec un drap, là où Wendy et Maggie étaient assises.

Peter- je suis désolé de devoir rompre le charme, mais je dois vous enlever grand-mère Wendy ou elle va être en retard à l'événement le plus important de sa vie. (Dit-il en souriant légèrement.)

Il se mit par la suite en dessous du drap, et pris la main de Wendy avant de l'aider à se relever.

Maggie- papa ! J'ai fait quelque chose pour toi. Ça va te plaire, tu vas adorer ! (Elle lui montra un sac à dos.) comme ça, t'auras plus peur la prochaine fois que tu t'envoleras !

Wendy- elle t'a fait un parachute.

Peter- oh...c'est très astucieux ma chérie. (Il lui sourit.) Jack ! (Puis il tourna sa tête vers la grande fenêtre, là où était son fils.) Jack, écarte toi de là, je t'ai déjà dit de ne pas jouer devant des fenêtres ouvertes ! Il faut fermer cette fenêtre, je te l'ai déjà dit cent fois. A la maison, tu as déjà vue des fenêtres ouvertes ? (Il ferma celle-ci.)

Jack- nan, elles ont toutes des barreaux ! (Dit-il avant de se jeter dans son lit.)

Wendy- aller, aller, aller, au lit.

Jack souffla, ne voulant pas dormir, puis il souleva son oreiller afin de déposer son gant de base-ball. Mais avant de le faire, il vit que sa balle avait disparue...

Jack- qui a pris ma balle de base-ball ?! (S'exclama-t-il, surpris.)

Maggie- c'est le méchant et vilain monsieur derrière la fenêtre qui l'a volée !

Peter- il n'y a pas de vilain monsieur.

Maggie- mais papa, il a dit qu'il était le laveur de carreaux !

Peter- allons, ma chérie...(fit-il, chuchotant et bordant sa fille.)

Zoé- il était ultra chelou...en plus d'être flippant. (Dit-elle, s'allongeant à son tour dans son lit.)

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