LE FESTIN

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Je me déplaçait, laissant la famille seule, se réjouissent de leur retrouvailles. Et alla prendre place au près de mon ami Hassan.

Hassan et moi, avons fait connaissance le jour de mon arrivé au village, et après les funéraires de ma mère, il m'avait bien aidé à m'intégrer et avait même parler de moi à Hamidou et c'est ainsi que j'ai eu du travail chez l'imam. C'est pour quoi il est le seul vrai ami que j'ai eu depuis des décennies.

- l'imam te parlais de quoi ? Me demanda t'il
- Il voulait juste savoir, le pourquoi j'étais désorienté pendant la prière.
- Et tu lui as répondu quoi ?
- Rien son fils Eli nous a interrompus, pendant notre discussion
- Le même qui est allé à la guerre ?
- Oui le même
- Il a de la chance, tous sa famille réunie ! Dis moi, qu'est-ce qui t'occupe l'esprit en ce moment, je te trouve de plus en plus perdu dans tes pensées.
- Par quoi mais qui ! C'est là question qu'il faut poser
- Déballe tout !
- C'est la fille de l'imam

Il ne put retoquer à ma répondre que l'imam arriva et commença son annonce

- Aujourd'hui est une soirée spéciale, pas comme les autres, en effet j'ai eu une grâce, plus qu'une grâce, les mots ne me parviennent pas . Je sais juste que je suis un homme béni, plus béni que chacun d'entre vous en ce moment.
(Éclats de rire de la population)
Mon fils que Voici, et surtout l'unique que j'ai eu, que la guerre avait empruntée, m'ai en fin revenu après Neuf ans de service, Neuf ans à défendre les couleurs de notre drapeau, Neuf ans à nous permettre de dormir sous nos deux oreilles, Neuf ans sans sa famille avec pour seul soutien, guide, et famille Allah.
(Acclamation de la foule)
Eli , il se nomme.

Et il reprit en disant
Ma joie ne serai comblé, si celle pour qui le mot beauté a été inventé n'était point là. Je ne pourrai jamais oublier les humiliations faîte sur ma personne et celle de mon épouse Maï, car elle représente plus qu'un miracle, elle est une illustration de la preuve vivante qu'Allah existe, qu'il est près de nous et qu'il sait récompense le juste, ma fille Annabelle.

Plus aucun clignotant, tous les yeux étaient dirigés sur son entré. Elle avait vêtu une robe noire, qui lui divisait la poitrine comme un fragment lunaire, et cette longue fente qui allait de ses cuisses vers le bats nous démontraient l'éclat de sa peau. Qui brillait tel des diamants. Son père avait raison, le mot beauté avait bien et belle été inventé pour elle.
Je me retournais quelques instants comme pour essayer de détourner le regard face à ce plaisir, mais je me rendis rapidement compte que , je n'étais pas le seul qui avait le souffle coupé, quelques soient les tranches d'âges, vieux, jeunes, garnements, tous étaient là, admiraient, ses formes que cette robe avait dévoilée au grand jour. Nous étions tel dans une salle de cinéma, calme absolu juste des regards.
À cet instant plus rien n'existe, c'était comme si le temps lui même s'était arrêté juste pour elle, juste pour admirer ce fruit que nul n'avais encore goûté mais qui suscitaient le désir de tout un chacun.

Son père épris de rage devant cette scène et plus encore sur l'habillement de sa fille, la traîna de force à l'arrière de la maison et lui Jetta contre terre.
- Annabelle, veux-tu détruire ce que j'ai construit ? Ma réputation veux-tu la mettre à terre ? Ma vie veux-tu la ruiné ?

Tout en larme, elle pris la parole

- Non papa! Je voulais juste...
- Mais que voulais-tu faire ? Quoi que tu puisses dire ne permettra pas d'effacer cette scène, que diront les autres ? T'ai-je permis d'aller en ville pour que tu deviens une...

Maï n'avait pas laisser son mari fini sa phrase elle s'était jetée à ses pieds pour implorer son pardon

- Hamidou je t'en prie épargne là, elle n'a pas encore bien accueillie toute nos règles.
- Mais mère, de nos jours c'est
permis, la femme a des droits.

Furieux qu'elle puisse encore parlé après ce qu'elle venait de faire, Hamidou avait laissé la colère dirigé ses membre .
Il voulut frapper Annabelle, mais Maï ayant vu , se Jetta face sa fille et reçu la main d'Hamidou sur son visage.

Farida, vint à son tour, et supplie son mari de retourner vers les invités.

Il reparti mais toujours furieux et reviens près de nous, et nous fit savoir

- je m'excuse vraiment pour ce désagrément que vous avez été témoin, ma fille en effet a passée beaucoup de temps hors de nos cultures et a pris goût à ceux des étrangers. Je m'excuse pour tous cela, mais mes femmes s'appliqueront afin qu'elle soit initiée à nos cultures et qu'elle oublie celle étrangère. Le festin peut débuter, manger, buvez, car tous ce qui est ici est pour vous.

LES LARMES DE MON CŒUR Where stories live. Discover now