LA NOUVELLE

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J'avais forcée les choses jusqu'à revenir dans mon ménage. Dans l'enceinte du village, tous, absolument tous se disaient de ma personne, comme quoi, j'étais une incapable, une femme stérile. Les gens me longniaient du regard, me devisageaient, d'autres femmes du village étaient allées jusqu'à interdit leur enfant de m'approcher, soit disant que je transmettais l'infertilité. Comme çi, c'était une maladie, une malédiction...  
 
Je préparais du légumes au couscous pour le repas du soir au compagnie d'Anita, la femme de Sali, et là, nous apercevons, Hadith arrivée, je me dépêche d'aller l'accueillir mais, celle-ci comme à son habitude, me repoussa;
  
- Ne prend pas tes ailes de bonnes épouse avec moi, cela n'a aucun effet sur ma personne ! La maison d'en face est-elle en état ?

- Non maman, elle nous sert de magasins. 
- Je veux que tu y fasse le ménage, qu'elle soit aussi brillante que le dos d'un  hippopotame. M'as tu bien comprise ?
- Oui maman ! Mais je le ferais demain matin car pour le moment je fais de la cuisine pour Hamidou.

Je ne prêtais plus attention à sa personne, et me baissais pour alimenter le feu d'un vent qui fit ravive la flamme. J'ouvrais, a fin de déterminer le degré de cuisson des légumes pour y incorporer de la viande de bœuf, c'est à cet instant qu'un seau de sable faisait eruption dans le contenu de ma casserole. D'un air étonnée et surprise, je levais les yeux vers le ciel, et l'ombre obscur du regard de maman me frappa en pleine rétine. Elle resta quelques instants, m'admirant de la tête au pied, et repris ;
 
- Maintenant tu peux le faire car tu as du temps libre .

J'étais était en larme, mon corps tout entier tremblait encore de ce que ma très chère maman venait de faire. Le repas que je m'étais donnée donc de faire, venait de partir en ruines. Je me ressaisir, mais les larmes continuaient leurs décentes sur mes joues. Anita s'était s'éloignée, ne voulant plus interférer dans mes problèmes de ménages sous peur de perdre le siens. Je ne l'en voulais pas, au contraire, cette scène ne mérite pas être visionné.

Hadith quant à elle, allait dans la maison et y ressortie avec un seau, une brosse, me les lançaient sur me visage ! 
   
  Je n'eu point le choix que de le faire car Hadîth était resté là, m'admirant faire, tout en me contrôlant. Et c'est très tard que je finis le nettoyage. La fatigue avait eu raison de moi, je n'eu le temps de mettre sous les fourneaux.  

   HAMIDOU, de retours, ne trouvant pas de quoi se mettre sous la dent , se mit à me battre, il me disait : À défaut de me faire des enfants, fait moi au moins de quoi rassasier ma faim, après tous ces de mon revenu saladier que tu jouis. Il continue son monologue, tout en me roulant de coup; Au final, quelle est ton utilité dans cette maison ?  Incapable ! Sterile ! Inutile !

Il ne s'extasie point, il continue jusqu'à ce que son ceinturons se sois effilé sur mon corps. Et tous ceci sous le regard impétueux de Hadith.
Les coups encaissé n'avaient pas passé inaperçu, je perdu une grande quantité de sang, suite aux nombreux ouvertures sous ma peau. J'avais beau me défendre mais il ne voulut rien entendre venant de ma pare . Épineux de colère , il m'attacha, me conduit dans l'un de ses enclos et m'avais laisser passer nuit dans ses conditions déplorables et inhumaine. 

    J'avais beau hurler, mais personne, absolument personne n'avait pu entendre mon crie de détresse. Ceci peut bien avoir une explication, la demeure des Haram était grand, elle couvrait un vaste terrain. Hamidou étant le seul fils de son père, notamment le seul héritiers de ce beau patrimoine. Son père mourut de suite d'une longue maladie et depuis les quinze ans d'Haminou, il fut élevé par sa mère et selon les lois du Coran. Ainsi, grâce à cet enseignement, il devint rapidement un homme des plus envié du village, et prêtant actuellement au titre imam.

Au première lieur du jour, Hamidou vint me sortir de cette prison.
J'étais devenue à me réduire à vivre tel une bête. Ceci pour préserver un mariage qui n'avait plus d'avenir. J'étais assise à un coins de grande cour, donnant directement sur la clôture de la maison, faisant ma lessive. J'entendis les ronronnements d'une camionnette, en levant les yeux pour prêter attention à la visite de ce véhicule.
C'est une véhicule de déménagement, cela m'intriguait, je me levais, attendant que le chauffeur veux bien coupé son moteur et m'expliquer sa venue. Dès que celui-ci eu bien l'amabilité de descendre, aussi vite je me dirigeais vers ses jeunes

- Salam aleykoum mes frères !
- Waleykoum Salam ma sœur.

   Ils me regardaient d'un dégoût qu'ils ne cachaient même pas , j' empeste l'urine d'animaux, même après plusieurs bains, l'odeur avait voté pour, résistant ainsi au savon et à la fureur de l'eau sur mon corps.
- Ma sœur où pouvons-nous déposer le contenu de ce véhicule ?
- Je n'ai pas été prévue d'une quelconque visite venant de mon mari, ici c'est chez hamadou Ahram ! Si vous voulez bien me communiquer votre destination, je serais peut-être en mesure de vous communiquer la destination exacte ! Parlée-moi mes frères !

     Les jeunes hommes n'eurent pas le temps de me répondre que j' aperçu, Hadith en compagnie d'une jeune femme violée. Les larmes se déversent déjà de mes  yeux face à scénario de sciences fictions." Hamidou n'a pas pû me fait ça ! " Me disais-je. Je pris mes jambes à mon coup et me dirige vers ma belle Maman.
 
- Maman ! Qui est cette femme ?
- Cette femme ! C'est FARIDA , la nouvelle compagne de Hamidou
- Ça nouvelle épouse ? Non ! Hamidou n'a pas pû me faire ça ! Non, ça ne peut pas arriver !

  Je fondais littéralement en larme.
Hadith se tournait vers FARIDA et lui dit

- Ne touche jamais cette femme, ne l'adresse encore moins la parole ! Elle est la peste en personne, et par dessus tout, elle est transmets le virus de la stérilité. Si jamais tu veux conserver ton mariage et ton époux, limite au maximum tes regards et tes outils d'elle, simplement à sa vue, elle peut transférer sa stérilité. Fait attention, comble le vide de cette maison par des descendants, ainsi tu seras combler d'amour au quel tu n'aurais jamais soupçonnée l'existence.

La jeune fille secoua la tête en guise de réponse ! J'étais sidérée, outragée . Il l'aurait pu m'en parler, me le dire à fin que je puisse me préparer à l'avance !

Elle venait de faire un très beau portrait de ma Personnalité  à la fillette qui sera d'aure avant ma rivale, je devrais partager mon mari avec cette dernière, son attention, ses cadeaux... Tout en me bousculant elle alla installer Farida dans sa nouvelle demeure.

LES LARMES DE MON CŒUR Dove le storie prendono vita. Scoprilo ora