Chapitre 47

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J - 6

Point de vue de Dorian

Lylya leva les yeux au ciel avant d'aller s'installer sur l'un des canapés.

"Tante Henriette : (énervée) Il n'avait absolument aucun droit de faire ça! Quel culot!!!!!!"

Hans prit le vase et, au moment où il ouvrit la porte, un membre du service d'étage apparut et le récupéra en s'excusant.

"Hans : Ce n'est rien. (Il se tourna vers la tante de Lylya) On doit s'inquiéter?

Lylya : (calmement) Je ne suis pas inquiète. Donc ne le soyez pas."

J'échangea un regard entendu avec Hans.

"Hans : Très bien. Venez Henriette, nous allons également avancer sur les préparatifs."

Elle voulut protester mais se ravisa.

"Tante Henriette : (déterminée) Je vais m'en charger personnellement."

Elle échangea un regard avec Lylya avant de quitter la chambre avec mon témoin.

J'alla m'asseoir près de ma fiancée, de sorte à ce qu'elles puissent poser sa tête sereinement sur l'une de mes épaules.

"Dorian : Ta tante fait vraiment beaucoup d'effort.

Lylya : (blasée) ... Oui... c'est vrai."

Je pris sa main dans la mienne.

Je lui laissa le temps de réagir.

Mais rien.

"Dorian : Comment ça s'est passé aujourd'hui?

Lylya : J'avais vraiment la boule au ventre... Mais tu avais raison boo. Ça leur a vraiment fait plaisir que je partage cet instant avec elles."

On resta silencieux quelques instants avant qu'elle ne se lève.

"Lylya : Leandro ne va pas tarder à arriver. Je vais y aller pour peaufiner certaines choses avant de le retrouver."

Je fronça les sourcils sans le vouloir.

"Lylya : (surprise) Que se passe-t-il boo?

Dorian : Une chose que j'avais oublié. (Silence) On se retrouve tout à l'heure, comme prévu?

Lylya : (sourire) Bien sûr mon chéri! J'ai hâte!!!"

Elle m'embrassa sur la joue et s'en alla.

Je pris une profonde inspiration.

J'avais de plus en plus de mal à cacher mon agacement concernant son amitié avec lui...

Le mariage approchait également à grand pas.

Et ces fleurs...

Elle ne m'avait pas dit un mot à ce sujet.

Pourtant, je savais pertinemment qu'elle allait lui en parler, à lui.

Ça ne peut plus durer!

Alors que j'étais allé à la fenêtre pour mettre de l'ordre dans mon esprit et calmer mes nerfs, on toqua à la porte.

"Dorian : Entrez.

Mme FERGUSEN : Quel ton ferme mon fils!"

Elle referma la porte derrière elle et vint m'embrasser tendrement sur la joue.

NOUS NE FORMERONS QU'UNWhere stories live. Discover now