Les maestros de l'émission N'Oubliez Pas les Paroles se retrouvent obligés de cohabiter dans un appartement insalubre vont-ils réussir à préserver les amitiés ? va-t-il y avoir des trahisons ? L'amour sera-il au centre des préoccupations ? vous le...
"Les amis Jocelyne la dernière Maestro en date est désormais parmi nous... et dois-je préciser qu'il s'agit de ma cousine ?"
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Elle se présente donc avec sa valise à la main avec un large sourire :
"Waouh... c'est magnifique votre maison j'ai déjà hâte d'y habiter !"
Arsène en profite pour la draguer :
"Non ce qui est magnifique c'est de te savoir aussi contente... et puis tu es une de celles qui me fera tomber amoureux... Encore... à force de cumuler les aventures sans lendemain je vais devoir faire payer l'entrée de ma chambre... Je t'en prie laisse-moi te faire visiter notre humble demeure !"
Je pouvais entendre Caroline rager :
"Mais qu'est-ce qu'elle peut bien avoir de plus que moi ?"
Je la calme :
"Il veut montrer sa sympathie..."
Caro ne me croit pas :
"En s'attardant sur sa robe ? je pense plutôt qu'ils se préparent à sortir ensemble il faut que j'empêche ça immédiatement !"
Je soupire :
"Arsène est un coeur voltigeant c'est parfaitement normal que tu te sentes aussi affectée mais garde ton calme et tout se passera bien !"
Elle baisse la tête :
"Je préfère ne pas les observer ça risque de me faire vomir !"
Je réfléchis :
"Tu pourrais peut-être inviter Jocelyne à une fête improvisée histoire de faire connaissance ?"
Elle sourit :
"Je vais y réfléchir"
LE SOIR VENU
PDV Kévin
Les filles Maestros ont organisé une pyjama-party et j'ai été chargé d'éclaireur par Hervé afin de tout lui raconter...
Il y avait donc Jocelyne, Margaux, Violaine, Elodie, Alessandra, Caroline et Lucile...
Un moment marquant c'est quand Margaux a fait du hula-hoop fluorescent... je ne pouvais pas la quitter des yeux et je m'efforcais de retenir ma respiration pour éviter de soupirer... elle avait un crop-top gris particulièrement moulant avec une avant-première incroyable... une rangée d'abdominaux qui feraient pâlir d'envie les plus grands culturistes... je mordais mes manches de sweat-shirt afin de cacher ma grande émotion... aucune goutte de sueur ne coulait le long de son ventre qui restait si beau à regarder...
Résultat... je n'ai rien retenu des conversations ambiantes et j'ai commencé à me demander si mon attirance pour Margaux devenait purement physique et si je devais en avoir peur !
