❝C'est une dangereuse école pour un joli visage comme le tien❞
❝Tu es comme un jouet cassé... et j'aime jouer avec les choses brisées❞
☆彡
marcus lopez x fem oc
février2022
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chapitre deux.
"IL M'A PAS L'AIR D'UN PSYCHOPATHE."
"Faut pas se fier aux apparences."
"Mais on peut se fier à l'odeur."
"Il est mignon."
"Ouais, il pourrait faire la couverture de Clodo Magazine."
Quatre adolescents se tenaient devant Marcus. Deux filles et deux garçons. Tous différents les uns des autres, de part leurs postures et leurs attitudes. Sans compter leurs styles vestimentaires complètement opposés.
Ils n'arrêtaient pas d'observer le garçon et de faire toutes sortes de remarques futiles.
Dans une autre vie, Marcus aurait probablement essayé de créer des liens avec eux. Ce groupe a l'allure débraillé aurait pu devenir ses amis, si les circonstances avaient été différentes.
Il est vrai que, se faire kidnapper par une étrange bande de jeunes n'était pas quelque chose d'habituel dans la vie du jeune garçon.
Alors Marcus n'allait certainement pas devenir amis avec cette bande d'idiots.
Mais il changera probablement d'avis, quand il l'apercevra.
Parce qu'il n'étaient finalement pas quatre mais cinq inconnus dans cette lugubre pièce. Debout et proche de la sortie, les bras croisés sur sa poitrine et le dos appuyé contre le mur, la jeune fille observait du coin de l'œil ce qu'il se passait par dessus l'épaule de Billy.
A vrai dire, celle-ci n'en avait strictement rien à foutre.
Elle ne comprenait pas pourquoi maître Lin lui avait dit de faire équipe avec cette bande d'imbéciles. Tout le monde savait qu'elle n'était pas très coopérative. Elle remplissait toujours toutes les missions à la perfection, seule.
Et surtout, pourquoi était-elle encore ici?
"Alors le gros enfoiré? T'es responsable du massacre de l'orphelinat?" s'exclama Willie d'un ton sec.
Il était pathétique.
La jeune fille avait envie de rire. Cette bande d'idiots devant elle avec leurs allures de dur à cuir pitoyable. Leurs regards hautains et méprisants pouvaient même lui hérisser les poils de loin.
Ils se sentaient tous supérieurs sans aucune raison simplement pour effrayer le garçon attaché.
La jeune fille attendait avec impatience le jour où elle les réduirait en cendres. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres tandis qu'elle s'imaginait déjà, leurs sang d'enfoirés couler sur le sol.
